John Wayne, un homme, une légende
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| | Le dernier des géants, film "réquiem" | |
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+7the duke musselshell John Mallory Ethan Admin Daniel Vixare 11 participants | |
Aimez vous Le dernier des géants ? | OUI | | 91% | [ 20 ] | NON | | 9% | [ 2 ] |
| Total des votes : 22 | | |
| Auteur | Message |
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Vixare Admin
Nombre de messages : 326 Age : 35 Localisation : Lincoln County Emploi : étudiant Loisirs : western-ciné-foot Date d'inscription : 06/03/2007
| Sujet: Le dernier des géants, film "réquiem" Jeu 26 Avr - 8:28 | |
| Le dernier des géants, dernier film tourné par le Duke en 1976, réalisé par Don Siegel a réunit autour de John Wayne plusieurs de ses plus grands collaborateurs et des grandes stars d'Hollywood comme Laurren Baccal, James Stewart, Richard Boone et le futur acteur reconnu : Ron Howard. PLus qu'un western comme on a plus les voir à l'accoutumé avec le Duke, ce film est la métaphore de son calvaire et de sa lutte contre le cander ... vous aimez ? | |
| | | Daniel Pistolero
Nombre de messages : 7 Date d'inscription : 24/04/2007
| Sujet: Re: Le dernier des géants, film "réquiem" Jeu 26 Avr - 12:03 | |
| Pour une fois, le titre en français, Le dernier des géants, est beaucoup plus juste à la stature du personnage que le titre en anglais The Shootist. C'est un titre hommage à l'homme qui a le plus donné au western que tout autre acteur dans l'histoire du 7e art. J'ai lu un truc dans mes bouquins anglais sur le Duke l'autre jour et voici ce que j'ai trouvé... Au-delà des qualités ou des défauts du film... le héros se confond pour la première fois avec l'homme dans ce qu'il a de plus irréductible : sa moralité. les scénaristes ont été à la hauteur de la situation... lui faire jouer un héros ateint de maladie mortelle, voilà qui était contre nature : rendu complètement passif par son état, le personnage est incapable de l'action dont sont faits les westerns. Aussi pour ne pas complètement écraser le héros, le scénario du film de Don Siegel remplace-t-il l'action par une insistance sur le caractère très digne de cet homme diminué. | |
| | | Admin Admin
Nombre de messages : 3192 Age : 55 Localisation : Monaco Date d'inscription : 25/02/2007
| Sujet: Re: Le dernier des géants, film "réquiem" Jeu 26 Avr - 15:25 | |
| - Daniel a écrit:
- Pour une fois, le titre en français, Le dernier des géants, est beaucoup plus juste à la stature du personnage que le titre en anglais The Shootist. C'est un titre hommage à l'homme qui a le plus donné au western que tout autre acteur dans l'histoire du 7e art.
. Le titre américian a été tiré dirctement du roman de Glendon Swarrthout qui n'a pas été écrit spécialement pour John Wayne, à ma connaissance. Mais c'est vrai que le fait que le scénario colle à ce point à la vie personnelle du Duke, donne au titre français un sentiment de "requiem" qui est particulièrment émouvant.
Dernière édition par le Jeu 26 Avr - 15:39, édité 2 fois | |
| | | Admin Admin
Nombre de messages : 3192 Age : 55 Localisation : Monaco Date d'inscription : 25/02/2007
| Sujet: Re: Le dernier des géants, film "réquiem" Jeu 26 Avr - 15:34 | |
| Analyse de Sébastien Miguel, Cadrage juillet 2003 - Citation :
- The Shootist, un film crépusculaire
Le film s’ouvre et se clôt sur des terres désolées. Des « no man’s land » annonçant l’évolution démographique du vaste territoire mais aussi symbolisant la perte et la fuite du temps. Les champs barbelés et hivernaux du début ont fait place à des toitures et des cheminées d’une ville désolée à la toute fin du film. Nous sommes en 1901. John Bernard Books (John Wayne) se rend à Carson city pour revoir son vieil ami, le docteur Hostetler (James Stewart), qui, dans le temps, lui sauva la vie. Arrivant le jour de la mort de la reine Victoria, John Bernard Books apprend qu’il souffre d’un cancer terriblement avancé. Il ne lui reste que quelques temps à vivre. Il va donc consacrer ses derniers jours à préparer son départ. Mais Books ne pourra échapper à sa réputation de « Shootist »…
The Shootist est donc un Western mais un western évacué de toutes ses figures de styles : Pas de chevauchée, pas de grands espaces et pas l’ombre d’un indien. Un film presque pauvre, dénué même de toute prétention stylistique. Un film qui ne s’encombre d’aucun message politique et qui n’a rien à raconter sinon les derniers jours d’un Gunfighter légendaire. S’il faut chercher une raison à cette sorte d’ascèse, c’est peut être parce qu’avant tout The Shootist est un film sur la mort.
La silhouette fantomatique de Books dans les premiers plans du film annonce en substance l’arrivée du prêtre dans Pale Rider d’Eastwood (1985). Le long plan séquence de la fin du générique nous fait découvrir le visage d’un vieillard malade et mourant. A peine arrivé dans la ville, Books est sommé par un citoyen de bouger « sa vieille carcasse ». Cette scène est un lointain écho à l’arrivée de Joel McCrea au début de Ride the High Country (Sam Peckinpah, 1962), le premier western crépusculaire de l’histoire. Dès l’annonce de sa mort prochaine, les habitants de Carson city vont réagir de deux manières :
- Certains vont tout faire pour exploiter financièrement un tel événement. Par exemple, le croque-mort (John Carradine) veut embaumer Books pour faire payer aux habitants de la ville 50 cents dans une procession caustique. Le chroniqueur, quant à lui, tente de publier une série d’aventures fallacieuses et mensongères sur le tueur sanglant d’un Ouest révolu…
- La dernière catégorie d’habitants veulent littéralement abattre Books pour la renommée et pour la gloire.
Le vieux tireur est donc déjà un homme mort avant même que sa dernière heure ne l’emporte. Avec un rythme laconique et parfaitement maîtrisé, le film nous présente une formidable galerie de personnages qui vont tous participer à la tragédie des derniers jours de Books. Réduit en apparence à leurs anciennes fonctions de topos, ils acquièrent évidemment dans ce film une épaisseur toute particulière : Le Cow-Boy, Le Shérif, La Veuve, Le Docteur, Le Bandit et le Croque-mort n’obéissent plus aux traits grossiers des autres productions. Dans ce film en effet, ils constituent eux mêmes le cœur du drame, en particulier le personnage de la veuve Rogers (magnifiquement interprétée par Lauren Bacall).
Car nonobstant d’être l’un des plus poignants westerns crépusculaires qui soient, The Shootist est aussi l’histoire d’un amour arrivé trop tard. La veuve Rogers cultivera une antipathie profonde pour cet homme qu’elle considère comme un tueur sans âme jusqu'à ce que le vieil homme lui avoue son terrible secret. Dès lors une sorte de lien tissé de respect et de tendresse va s’établir entre eux. Don Siegel, dont The Shootist n’était qu’une commande, parvient malgré tout à établir avec délicatesse et subtilité leurs itinéraires sentimentaux respectifs.
Cependant, ce qui fait aussi la force mortifère de The Shootist est peut-être cette fin magistrale (une fin qui dépasse le film seul), celle de la mort du mythe John Wayne. Une John Wayne atteint du cancer dans le film et dans la vie. Le film dépasse ainsi son statut de simple film et parle de l'homme Wayne qui a tout fait pour jouer dans ce film en dépit de sa maladie. Le tournage a même dû être interrompu pour cette raison. Stewart et Bacall sachant Wayne mourant ont tenu à faire partie de la distribution pour rendre un dernier hommage à ce mythe du cinéma mondial.
......................
La mort du mythe John Wayne
The Shootist semble donc l’aboutissement miraculeux des travaux de Hawks et Ford. Le film est d’ailleurs logiquement rempli de références directes (Cf. Le montage d’extraits du pré générique notamment). Pourtant, pas de pathos hollywoodien, pas de larmes, juste la crudité d'un héros qui trépasse. The Shootist est violent pour ce qu’il a d’ extra filmique, voire même de méta filmique. John Wayne n'est plus présenté comme un héros invulnérable, froid avec les hommes, les jeunes et les femmes, il est ici sensible, vulnérable, atteint dans sa chair. Les personnages du film vont même jusqu'à se moquer violemment de lui pendant tout le film. Il perd son statut divin, il est redevenu homme. Derrière le tueur, le cœur.
La fin de The Shootist, donc, est ce constat brut de John Wayne abattu dans le dos par un vulgaire barman (une mort volontairement peu digne d'un tel héros), et le dernier plan de Wayne, est une image de lui mort, au sol, une veste sur son visage, au milieu de statues. Au dessus de son corps inerte, en face de nous, une statue d’aigle. L’ultime regard de Stewart regardant la dépouille est en ce sens le plan le plus ambigu et le plus terrifiant du film : un petit sourire vient naître sur son visage. Est-il heureux de voir le héros Wayne mort dans le feu de l'action plutôt que dans une maladie longue et indigne ? Ou Stewart sourit-il du spectacle de la mort d’un héros ? Un sourire devant la violence et la mort ? Ou vanité d’un vieil homme qui se sait encore en vie, et qui se sait plus résistant que son ami de longue date ? Echo subtil au film Liberty Valance ? Ou peut-être sourire devant un mensonge ?
Le personnage interprété par James Stewart annonce le cancer à Wayne au début du film, il lui annonce sa mort, il lui apporte la mort en définitive. Stewart serait-il finalement dans The Shootist l’aigle noir de la mort qui boucle le film dans ce sourire ? Ce dernier duel entre Wayne et la mort est fatal. L’histoire du western s’achève sur ce paroxysme, sans larmes ni trompettes patriotiques. Mais dans l’ambiguïté la plus saisissante d’un genre qui est passé du manichéisme au trouble, avant d’être emporté à son tour. Un genre de la violence qui a débuté sur l’extermination d'un peuple et de se conclure avec la mort d’un seul homme, le plus symbolique de ses représentants.
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| | | Ethan Duke's friend
Nombre de messages : 362 Age : 77 Localisation : Val d'oise Emploi : Retraité Loisirs : Cinema/Elvis et John Wayne Date d'inscription : 10/03/2007
| Sujet: (b) le dernier des geants Ven 27 Avr - 16:22 | |
| moi je n'ai pas aimé ; c'est juste que c'est le dernier film de john wayne et c'est son film testament mais le film par lui même n'est pas terrible et s'il n'avait pas été interpreté par john wayne et si l'acteur n'était pas mort quelque temps aprés , on n'en aurait pas tant parlé ! et je le prefère dans de nombreux autres roles ! amitiés Ethan | |
| | | Admin Admin
Nombre de messages : 3192 Age : 55 Localisation : Monaco Date d'inscription : 25/02/2007
| Sujet: Re: Le dernier des géants, film "réquiem" Ven 27 Avr - 19:33 | |
| En fait moi de meme Ethan, bon film, mais pour plusieurs raisons, pas un grand film. D'abord la correspondance avec le propre destin de John Wayne, donne son charme et en font un film emblématique dans sa filmographie, mais cela reste un film honnète sans plus, loin du souffle de beaucoup d'autres. Et puis un film qui pour moi ne réponds plus tout à fait aux codes que le Duke a toujours défendu dans ses western. | |
| | | Vixare Admin
Nombre de messages : 326 Age : 35 Localisation : Lincoln County Emploi : étudiant Loisirs : western-ciné-foot Date d'inscription : 06/03/2007
| Sujet: Re: Le dernier des géants, film "réquiem" Ven 27 Avr - 22:16 | |
| Pour moi c'ets plus un film hommage qu'atre chose, de nombreux éléments concordent dans ce sens et c'est surtout cela qui est l'intéret principal du film. Parmis mes exemples : - Siegel a regroupé autour du Duke ses plus grands amis dans la vie personnelle : James Stewart, Richard Boone, John Carradine ... - Le rôle a été taillé pour la situation de John Wayne et pour sa carrière, je dirais même presque que John n'a pas besoin de jouer mais il n'a qu'à être lui-même - On reprend des moments des westerns qui ont le plus marqué l'opinion pour présenter le personnage - Books est un homme hors de son temps, en 1976, John Wayne c'était avant tout le western et à ce moment là le western classique était massacré par le spaghetti et John Wayne était vraiment considéré comme le dernier des géants ... du western ( magnifique titre VF quand même ), Les automobiles le prouvent Books est hors de son temps- - La manière dont meurt Books aurait certainement été la manière dont Wayne aurait voulu mourrir, non pas à petit feu mais les colts arrachés aux fourreaux ! Mais ce que je trouve magnifique c'est qu'en dépit de la maladie qui le ronge, il parvient à tuer un par un ses adversaires ... mais se fait abattre d'un coup de chevrotine dans le dos, abbatu en traitre comme le cancer (cette fois le vrai ) allait l'abattre à son tour ... | |
| | | Admin Admin
Nombre de messages : 3192 Age : 55 Localisation : Monaco Date d'inscription : 25/02/2007
| Sujet: Re: Le dernier des géants, film "réquiem" Sam 28 Avr - 12:10 | |
| Oui c'est bien vu Vixare, c'est vrai que ce film est un d'hommage avant tout, hommage à l'homme et au personnage de John Wayne. Jusqu'à quel point cela a t 'il été calculé, je ne sais pas, mais ce n'est sans doute pas comme tu le relèves le fait du hasard. Je ne crois pas que le roman fut inspiré directement par le Duke, et pour lui, mais le film par contre, est vraiment bati en fonction de la carrière et de l'histoire personnel de John Wayne.
Dernière édition par le Dim 29 Avr - 12:01, édité 1 fois | |
| | | John Mallory Pistolero
Nombre de messages : 16 Date d'inscription : 05/04/2007
| Sujet: Re: Le dernier des géants, film "réquiem" Sam 28 Avr - 16:23 | |
| J'aime beaucoup ce film. Une oeuvre très émouvante, puisqu'il s'agit du dernier film de John Wayne et comme vous l'avez déjà dit, il est construit de manière à lui rendre un dernier hommage et permet de mettre un terme à sa carrière de la plus belle manière.
Ce que j'apprécie particulièrement dans ce film, c'est sa sobriété. En effet, on aurait pu très bien imaginer que pour livrer son ultime combat, le Duke se retrouve confronté à une horde d'ennemis qu'il affronterait dans un combat titanesque avant de plier sous le nombre. Mais au lieu de celà, on en reste au bon vieux duel dans un saloon (à 3 contre 1 quand même). On ne cherche donc pas ici à mythifier John Wayne, c'était d'ailleurs totalement inutile car il n'avait plus rien à prouver. Et puis, pour ce qui est de la fin héroïque, il y a déjà Alamo.
Le dernier des géants est ainsi pour moi un pur chef d'oeuvre, un authentique western crépusculaire. Car au travers de la fin de John Bernard Brooks, nous assistons à la fin de la période héroïque du Far West avec l'apparition des voitures, des trams et des rues goudronnées. Mais il marque également la fin d'un genre, le western, en perte de vitesse depuis les années 60 et qui reçoit ici le coup de grâce avec la disparition de sa plus illustre figure.
C'est ce qui rend ce film très émouvant et très triste. On sent d'ailleurs que John Wayne n'a même plus besoin de jouer la comédie pour montrer les souffrances qu'il ressent à cause du cancer. Mais malgré celà, il reste digne jusqu'au bout, le parfais héros de l'Ouest, même s'il est au bout du rouleau.
Un grand coup de chapeau au Duke pour cette ultime interprétation. | |
| | | musselshell Pistolero
Nombre de messages : 1 Age : 67 Localisation : nevers Emploi : enseignant Loisirs : no sport Date d'inscription : 26/04/2007
| Sujet: Re: Le dernier des géants, film "réquiem" Lun 14 Mai - 16:13 | |
| Vous avez peut -être lu ça ds Amazon, c'était moua: Don Siegel signe avec The Shootist ce que d'aucuns considèrent comme son meilleur film, hommage élégiaque à une légende à l'agonie, dans un monde qui désormais n'a plus besoin d'elle. A Carson City en 1900, puisqu'il faut bien finir quelque part, JB.Books prend pension, chez Lauren Bacall et Ron Howard. Histoire d'un apprivoisement. L'ami a diagnostiqué le mal, a décrit son inéluctable évolution par le menu, et a peut être alors suggéré le remède... Ransom Stoddart d'avocat est devenu médecin, oiseau de mauvais augure involontaire, à nouveau si dépassé. Quant à Tom Doniphon, il a lui aussi quinze ans de plus et devient John Bernard Books...Là où Tom n'en portait plus depuis longtemps (il faut dire quoi?), John Bernard les utilisera une dernière fois, pour finir par là où il a vécu. On a dit et redit que Wayne jouait ici son propre rôle, ce qui ne fut pas pour rien dans la délectation presque morbide que suscitait(et suscite encore) le film. Le miracle tient, il est vrai, presque totalement à l'acteur.A son jeu, poignant et sans fioritures, aux antipodes du Duke désubstantialisé des années soixante. Sans Ford, sans Hawks (qui rate d'ailleurs son dernier film avec lui...), sans Hathaway...Le Duke quitte l'ouest comme il quitte le cinéma, ou l'inverse, et beaucoup plus encore. Alors il joue..."Je ne savais pas que ce fils de -- pouvait jouer..." avait lâché Papa après avoir vu son protégé dans Red River.De La Piste des Géants au Dernier des Géants, la formule est inévitablement simpliste, voire un peu niaiseuse. En dehors du fait que personne sur le tournage ne se posait la question du titre français, constatons tout simplement que si l'idée est venue après avoir visionné le film, elle devenait une sacrée bonne idée. Alors respect. | |
| | | Admin Admin
Nombre de messages : 3192 Age : 55 Localisation : Monaco Date d'inscription : 25/02/2007
| Sujet: Re: Le dernier des géants, film "réquiem" Mer 16 Mai - 14:23 | |
| Merci pour ce commentaire que je n'avais pas lu. Par contre de quoi parle exactement la pesonne qui a fait le commentaire, là ??? - musselshell a écrit:
- ,..... sans Hawks (qui rate d'ailleurs son dernier film avec lui...)......
Quelqu'un le sait il ? Quel ilm ? Hawks et Wayne avait il un projet de film ?? | |
| | | Vixare Admin
Nombre de messages : 326 Age : 35 Localisation : Lincoln County Emploi : étudiant Loisirs : western-ciné-foot Date d'inscription : 06/03/2007
| Sujet: Re: Le dernier des géants, film "réquiem" Jeu 17 Mai - 18:56 | |
| - Admin a écrit:
Quelqu'un le sait il ? Quel ilm ? Hawks et Wayne avait il un projet de film ?? Je crois que Musselshell parlait de Rio Lobo est d'une certaine médiocrité de ce western. | |
| | | the duke Pistolero
Nombre de messages : 21 Date d'inscription : 02/01/2008
| Sujet: Re: Le dernier des géants, film "réquiem" Lun 7 Jan - 5:36 | |
| j'ai bien aimé "le dernier des geants" déja l'intro est géniale toute ces photos du Duke dans différent de ces films pour retracer l'histoire du héros on est déja dans le bain du film hommage a une des plus grandes légendes hollywoodienne. | |
| | | Cahill Tireur d'élite.
Nombre de messages : 108 Age : 63 Localisation : houplines Emploi : employe Loisirs : sports - westerns -decouvrir internet Date d'inscription : 27/10/2007
| | | | Vixare Admin
Nombre de messages : 326 Age : 35 Localisation : Lincoln County Emploi : étudiant Loisirs : western-ciné-foot Date d'inscription : 06/03/2007
| Sujet: Re: Le dernier des géants, film "réquiem" Mar 8 Jan - 17:36 | |
| Avec JB Books meurt le Duke, avec le Duke meurt le western ... | |
| | | Admin Admin
Nombre de messages : 3192 Age : 55 Localisation : Monaco Date d'inscription : 25/02/2007
| Sujet: Re: Le dernier des géants, film "réquiem" Ven 11 Jan - 9:15 | |
| - Citation :
- J.B. Books est une légende de l'Ouest vieillissante. Apprenant qu'il est rongé par le cancer, il décide tout d'abord de mourir en paix auprès de Bond Rogers et de son fils Gillom. Mais, affecté par leur pitié, il souhaite finalement finir en beauté et organise un dernier règlement de comptes.
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| | | John.T.CHANCE Cowboy
Nombre de messages : 94 Date d'inscription : 24/02/2008
| Sujet: Re: Le dernier des géants, film "réquiem" Dim 24 Fév - 22:42 | |
| Trop bavard comme film.
Le temps passé à monter JW manger sa soupe aurai du servir à rendre les méchants détestables, la fin aurait gagné en panache.
Je trouve que la photo, les decors et costumes désservent également le film. | |
| | | Admin Admin
Nombre de messages : 3192 Age : 55 Localisation : Monaco Date d'inscription : 25/02/2007
| Sujet: Re: Le dernier des géants, film "réquiem" Lun 25 Fév - 9:56 | |
| Disons que l'attachement à ce film dépasse la simple qualité du film. On aurait révé d'un Ford ou d'un Hawks qui aurait filmé la vrai-fin du Duke. Ford a enterré l'ouest et le Duke dans "L'homme qui tua Liberty Valance", et la scène devant le minable cercueil, avec Vera Miles, James Stewart (déjà), Andy Devine et Strode, ou on a enlevé les bottes du Duke pour les revendre est trés émouvante et incomparable. Mais bon j'ai quand même une grande tendresse pour ce film malgré certains défaults Le roman (Une gachette en version française) dont à été tiré le film est un trés bon roman, plus complexe et dévelloppé que le film d'ailleurs, je le conseille le livre. Une gâchette Glendon Swarthout Livre d'occasion format poche Etat : Bon Etat Collection : Super Noire n° 32 Editeur : Gallimard Pages : 256 Année : 1976 ISBN : 2070460320 Traduction : France-Marie Watkins Genre : Policier http://www.livrenpoche.com/livre/Une-gachette/21098.html | |
| | | John.T.CHANCE Cowboy
Nombre de messages : 94 Date d'inscription : 24/02/2008
| Sujet: Re: Le dernier des géants, film "réquiem" Lun 25 Fév - 9:58 | |
| +1
La valeur testamentaire est considérable mais on voudrait toujours plus pour mettre en valeur le Duke. | |
| | | Admin Admin
Nombre de messages : 3192 Age : 55 Localisation : Monaco Date d'inscription : 25/02/2007
| Sujet: Re: Le dernier des géants, film "réquiem" Lun 25 Fév - 10:01 | |
| - John.T.CHANCE a écrit:
- +1
La valeur testamentaire est considérable mais on voudrait toujours plus pour mettre en valeur le Duke. Exact | |
| | | Admin Admin
Nombre de messages : 3192 Age : 55 Localisation : Monaco Date d'inscription : 25/02/2007
| Sujet: Re: Le dernier des géants, film "réquiem" Dim 4 Mai - 6:17 | |
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| | | El Lobo Pistolero
Nombre de messages : 15 Age : 76 Localisation : Aix-en-Provence Date d'inscription : 18/05/2007
| Sujet: Re: Le dernier des géants, film "réquiem" Mar 17 Juin - 16:32 | |
| Le film n'a pas été conçu autour de Wayne, George C. Scott et Paul Newman ont refusé le rôle avant qu'il ne soit proposé à Wayne. De plus au moment du tournage, Wayne ne savait pas encore qu'il avait un cancer. Sa santé n'était pas bonne mais ses problémes alors étaient surtout d'origine cardiaque. | |
| | | Admin Admin
Nombre de messages : 3192 Age : 55 Localisation : Monaco Date d'inscription : 25/02/2007
| Sujet: Re: Le dernier des géants, film "réquiem" Mer 18 Juin - 12:19 | |
| Informations interesssantes El Lobo | |
| | | Ethan Duke's friend
Nombre de messages : 362 Age : 77 Localisation : Val d'oise Emploi : Retraité Loisirs : Cinema/Elvis et John Wayne Date d'inscription : 10/03/2007
| Sujet: Le Dernier des Géants " film réquiem" Mer 18 Juin - 15:58 | |
| Pour répondre à " El lobo" ; John Wayne savait trés bien qu'il avait un cancer a cette époque puisqu'il l'avait attrapé avec toute l'équipe d'ailleurs lors du tournage du film " le conquérant" en 1956 ( voir le sujet dans le forum ) et qu'il a d'ailleurs été opéré du cancer du poumon en 1964 aprés le tournage du " plus grand cirque du monde " où il était resté bloqué dans l'incendie d'une partie du cirque et où il avait ingurgité beaucoup de fumée qui lui avait re déclanché ce cancer aux poumons ! amicalement "Ethan" | |
| | | John.T.CHANCE Cowboy
Nombre de messages : 94 Date d'inscription : 24/02/2008
| Sujet: Re: Le dernier des géants, film "réquiem" Ven 20 Juin - 18:49 | |
| N'oublions pas qu'il fumait beaucoup aussi | |
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| Sujet: Re: Le dernier des géants, film "réquiem" | |
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| | | | Le dernier des géants, film "réquiem" | |
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