John Wayne, un homme, une légende
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 John Wayne, le «père de tous les cow-boys»

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MessageSujet: John Wayne, le «père de tous les cow-boys»   John Wayne, le «père de tous les cow-boys» Icon_minitimeDim 25 Mar - 12:38

John Wayne, le «père de tous les cow-boys


Philippe Gélie . Publié le 28 juillet 2006Actualisé le 28 juillet 2006 : 08h13 le Figaro reportage




En quelque 200 films, John Wayne a campé le pionnier courageux, le conquérant brutal mais civilisateur, le patriote toujours dans le camp du bien.
(DR).

John Wayne, le «père de tous les cow-boys» John20wayne20statue208xog2


Dans le hall de l'aéroport de Santa Ana, Kyle, 6 ans, s'accroche au bras d'une grande statue de bronze portant chapeau de cow-boy, pantalons de vacher et bottes à éperons. Le gamin s'évertue à dégainer le revolver qui dépasse de l'étui coulé dans la masse. – Tu sais qui c'est ? – Oui, c'est John Wayne. – Et tu sais qui est John Wayne ? – Oui, c'est un grand acteur et un cow-boy. Kyle ne voit pas la différence parce que aucun Américain ne la fait plus. Dans l'imaginaire collectif, l'Ouest est devenu un lieu mythique où les vrais aventuriers côtoient les personnages de western. John Wayne, du haut de son mètre quatre-vingt-dix, le domine de sa stature immortelle. En quelque deux cents films, pendant près d'un demi-siècle, il a campé un héros en lequel l'Amérique a décidé de croire, dont elle a fait un repère, le modèle de son caractère et de ses valeurs : celui du pionnier courageux qu'aucun obstacle ne retient, du conquérant brutal mais civilisateur, du patriote toujours dans le camp du bien. Le Duke, comme on le surnomma toute sa vie, a tellement incarné ces valeurs qu'elles l'ont pratiquement fâché avec Hollywood. Mais elles l'ont installé dans le panthéon populaire à une place que nul ne lui dispute. «Ceux qui veulent comprendre l'Amérique doivent comprendre l'attrait de John Wayne, écrivent ses biographes, Randy Roberts et James Olson *. Aucun autre pays n'aurait pu le produire.» Sur le mercado mexicain de San Antonio, au Texas, les portraits du Duke côtoient ceux de Pancho Villa et d'Emiliano Zapata. Dans l'antre du Western Spirit de Santa Monica, en Californie, il est le seul cow-boy toléré auprès des grandes coiffes de chefs apaches. Quel autre acteur de cinéma a donné son nom à un aéroport – celui d'Orange County, en Californie –, à l'instar de Kennedy à New York ou de Bush père à Houston ? Qui d'autre a sa statue à cheval sur un boulevard de Beverly Hills, à Los Angeles ? Qui voit sa mémoire perpétuée par une fondation médicale de 33 millions de dollars et une clinique de pointe contre le cancer ? Qui peut se targuer d'être devenu un héros de bande dessinée, d'avoir son effigie sur des timbres ou un modèle de fusil de chasse à son nom ?


Bien sûr, l'Amérique a tourné la page depuis la mort du héros de La Chevauchée fantastique, de Rio Bravo et des Bérets verts, terrassé par une récidive de cancer en 1979. À Newport Beach, petit paradis pour stars et milliardaires au sud de Los Angeles, la maison de dix chambres et sept salles de bain où il passa les quinze dernières années de sa vie vient d'être rasée par un couple d'hôteliers enrichis qui construit une grosse villa sans cachet. Juste devant, le ponton où il amarrait son yacht a été rebaptisé Duke's Point.

Le Wild Goose (l'oie sauvage), un ancien chasseur de mines de la Seconde Guerre mondiale, a été transformé en bateau de croisière pour réceptions et mariages, loué 5 000 dollars de l'heure. Dans les studios de Warner Bros, à Burbank, on a démonté le décor de village du Far West comme un vestige encombrant et désormais inutile. Le petit musée privé de la major centenaire ignore les figures du passé pour se concentrer sur les valeurs sûres du moment, Friends et Harry Potter. Sur le Walk of Fame, le trottoir des stars, l'étoile de John Wayne est exilée dans une rue perpendiculaire à Sunset Boulevard, devant le 1555 Vine Street, entre deux anonymes. Sa statue à cheval, commanditée en 1984 par la Great Western Financial Corporation, donne aujourd'hui un air de majesté au groupe de presse érotique Flint, qui n'en demandait sûrement pas tant lorsqu'il a racheté l'immeuble.

Le Duke n'occupe plus le devant de la scène aux États-Unis, mais sa légende appartient à l'arbre généalogique commun. Devant le Grauman's Chinese Theater de Los Angeles, l'empreinte de ses bottes dans le béton est la plus photographiée après celle de Marilyn Monroe. «Il représente l'authentique Américain, le père de tous les cow-boys», dit son cousin Alfred Pagano, 87 ans, qui porte encore cette chemise boutonnée en triangle typique du vieil Ouest.

John Wayne, le «père de tous les cow-boys» John20wayne20america20wab6


Avec son jumeau Eugene, il a habité dans la même rue que Wayne à Encino, un quartier de Los Angeles. Les deux frères travaillaient eux aussi dans les studios de Hollywood, comme coiffeurs et maquilleurs. En juin, ils sont allés pour la première fois visiter le Musée de l'Ouest américain, dont les riches collections réservent une petite place à leur aîné presque centenaire : son ceinturon, ses bottes, sa veste, son foulard et le bandeau qu'il porte à l'oeil dans True Grit (Cent dollars pour un shérif). «Il n'y en a pas beaucoup qui lui arrivent à la cheville, dit Eugene. Quand je pense à lui, je pense au drapeau et au salut.»

Du Midwest au Far West, l'itinéraire de Marion Morrison, descendant d'Écossais-Irlandais né en 1907 à Winterset, en Iowa, colle au rêve américain du self-made man. Issu d'une famille instable, mal aimé par sa mère, le Duke grandit en Californie, d'abord dans le désert du Mojave, où son père pharmacien croit pouvoir se transformer en fermier, puis à Glendale, une banlieue au nord de Los Angeles.

L'ironie est que, de son expérience de l'Ouest au début du XXe siècle, il gardera une aversion pour les chevaux et se sentira toujours plus dans son élément au bord de la mer que dans la prairie. S'il s'offre un ranch de 7 000 hectares et de 85 000 têtes de bétail en Arizona dans les années 1960, c'est surtout pour placer son argent : la direction en échoit à son ami Louis Johnson. Le ranch aujourd'hui démembré a été racheté par la tribu hopi, qui en a fait un bed & breakfast : la «suite John Wayne» se loue 105 dollars la nuit – et l'on peut venir avec son cheval.

Par l'un des nombreux paradoxes de sa vie, c'est donc la mer qui a fait de John Wayne un cow-boy. En 1925, alors qu'il entame une carrière de footballeur américain grâce à laquelle il compte payer ses études à l'université de Southern California (USC), il se blesse en se faisant rouler dans les vagues de Newport Beach. Il perd sa bourse d'étudiant, devient accessoiriste dans les studios de Hollywood : c'est là qu'il sera remarqué par Raoul Walsh et John Ford.

Le premier lui donnera son nom de scène et le second construira sa gloire en vingt-trois ans et quatorze films, à partir d'une passion partagée pour l'Ouest mythique : «Nous sommes dans l'Ouest, ici, fait dire Ford à l'un de ses personnages. Quand la légende devient réelle, imprimez la légende.» Warner vient de ressortir huit chefs-d'oeuvre de Ford et Wayne dans un coffret édité pour le cinquantenaire de La Prisonnière du désert (1956), un film comparé par le New York Times à Huckleberry Finn, de Mark Twain, «une oeuvre fondatrice» en littérature.

Mais l'empreinte laissée par le Duke transcende le septième art. Son testament personnel, mis en scène en 1960 après quatorze ans de passion et d'efforts, se veut à la fois historique, moral et politique. Dans The Alamo, Wayne raconte l'histoire idéalisée du sacrifice de cent quatre-vingt-trois «patriotes américains» morts en 1836 pour l'indépendance du Texas. Aujourd'hui, lorsqu'on demande aux enfants en excursion à San Antonio qui sont les héros d'El Alamo, ils en citent quatre : «Le colonel Travis, Jim Bowie, Davy Crockett et John Wayne.»

La marque des grands hommes tient au pouvoir qu'ils ont de bouleverser d'autres vies.

Le Duke n'a pas seulement étendu son ombre géante sur ses proches : ses trois épouses d'origine latino-américaine, ses sept enfants, sa bande d'amis, compagnons de cinéma, de beuveries ou de parties de cartes. Dans l'Amérique d'aujourd'hui, on rencontre encore des personnages marqués par les héros qu'il a incarnés. Richard Curilla, 59 ans, continue à jouer au cow-boy dans les rues poussiéreuses d'une fausse ville du Far West parce qu'il a vu The Alamo à l'âge de 12 ans en Pennsylvanie.

Il en est devenu tellement obsédé que ses parents l'ont amené sur les lieux du tournage, un décor plus vrai que nature reconstitué au milieu d'un ranch de 10 000 hectares au sud du Texas. Quarante-cinq ans plus tard, Curilla y est toujours, jouant des saynètes, le colt à la ceinture, pour les touristes de passage. «J'ai moi aussi attrapé le virus, dit cet éternel adolescent. On appelle ça l'esprit de l'Ouest : des valeurs claires, pas tellement morales, mais simples, en noir et blanc, le bien contre le mal. C'est ça, le western.»

Le Duke y avait adhéré au point de s'être compromis avec le maccarthysme dans les années 1950 et de créer une ligue morale, l'Alliance cinématographique pour la préservation des idéaux américains. Durant la guerre du Vietnam, lui qui s'était dérobé à la Seconde Guerre mondiale (contrairement à beaucoup d'acteurs, tels Clark Gable ou Henry Fonda) se fait le champion d'un patriotisme sans nuance qu'il exaltera dans Les Bérets verts (1968). En 1959, la visite de Nikita Khrouchtchev donne lieu à un célèbre duel alcoolisé entre le cow-boy et le chef du Kremlin, qui s'était fait projeter des copies piratées de ses films. John Wayne, héros de l'Amérique conservatrice ? Le jour des vétérans (Memorial Day), sa tombe, dans le cimetière de Pacific View à Newport Beach – une plaque de bronze le représente à cheval devant El Alamo – est fleurie comme celle d'un soldat tombé au combat.

Son principal imitateur, John Wain, qui se produit encore à 74 ans dans une bourgade du Missouri, a été invité en 2000 à la convention du Parti républicain à Philadelphie. «Je rejoue des scènes de ses films qui montrent que la liberté a un prix, explique-t-il. Mon spectacle est tellement patriotique que les républicains devraient faire appel à moi plus souvent.» à l'en croire, le Duke aurait aimé George W. Bush. Début mai, le président a expliqué aux étudiants de l'université d'Oklahoma : «Si vous lisez les journaux, vous savez que pour me critiquer ils me traitent de cow-boy. Eh bien laissez-moi vous dire : le cow-boy que je suis est fier d'être ici parmi vous autres cow-boys !» Mais pour son cousin Alfred Pagano, la filiation n'est pas évidente : «Quand John Wayne disait quelque chose, observe-t-il, on le croyait, lui !» En personnifiant les héros de l'Ouest pendant quarante-six ans dans quatre-vingt-quatre westerns, il a incarné bien plus que sa propre légende. «L'Ouest est-il un espace ou un mode de pensée ?», questionne un pan de mur à l'entrée du Musée du Western Heritage, à Los Angeles. Le Duke répondait ainsi : «L'Ouest, un mot qui va droit au coeur des Américains et leur fait ressentir la fierté de leur héritage, ce courage personnel qui triomphe de tous les obstacles.»

*John Wayne, American, Bison Books.


Dernière édition par le Sam 1 Déc - 16:47, édité 2 fois
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MessageSujet: jJohn Wayne " le père de tous les cow boys"   John Wayne, le «père de tous les cow-boys» Icon_minitimeLun 26 Mar - 15:38

John Wayne , pour moi ce n'est pas le père de tous les cow boys ! c'est le cow boy par excellence ; un western sans john wayne 'c'est comme des epinards sans beurre !!! quand on dit western ; on pense immediatement " john wayne " et " john ford " " la chevauchée fantastique" " le fils du desert" " fort apache" "rio grande" "la charge heroique" "la prisonniere du desert" " les cavaliers " sans oublier " l'homme qui tua liberty valence" et même s'il a fait d'autres grands western avec d'autre (et non des moindres; comme " la riviere rouge " " hondo" "rio bravo" "alamo" " les commancheros" "eldorado" " l'amazone aux yeux verts " ou encore " l'ange et le mauvais garçon " et j'en oublie...) Et voilà pourquoi je ne me lasse pas de voir et revoir un western avec john wayne et d'ailleurs je pense que quand on dit " cow boy " il y a " john wayne" et les autres .
Par contre , je me contrefout de ses idées politiques et même de son comportement reactionnaire et bien que je ne soit pas d'accord avec ses idées , je ne m'interesse qu'a l'acteur et là je suis d'accord avec lui à 100% ! amitiés "Ethan"
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MessageSujet: Re: John Wayne, le «père de tous les cow-boys»   John Wayne, le «père de tous les cow-boys» Icon_minitimeMar 27 Mar - 1:35

Comme toi Ethan, pour les cow-boys, il y a John Wayne et les autres. Il y a pas photo.

C'est le cow boy.

On a vu de grand acteurs à coté de lui, mais dans une scène ou il y a John Wayne, que ce soit Kirk Douglas, Mitchum, Stewart, ou autres (qui ne sont pas n'importe qui),on ne voit que John Wayne, sa présence et incomparable.

Quand à l'homme, à ses valeurs et à ses engagements, bien sur nul n'est besoin de les partager pour admirer l'homme et l'acteur.
J'ai d'ailleurs lu dans télérama qui est plutot à gauche, des articles trés positifs sur ses films et sur lui.

Bien sur si on veut faire le tour du personnage dans sa globalité, on ne peut ignorer ses actions publiques, que l'on approuve ou pas, ou peu, et il n'y a pas de tabou ici, tant que c'est fait dans le respect des gens et des opinions.

D'ailleurs John Wayne était beaucoup plus tolérant qu'on ne l'a dit, dans ses rapports individuels, si il avait des opinions trés tranchées, il a eu des relations cordiales avec des libéraux et progressistes notoires comme Lauren Bacall et Franck Sinatra, Monty Clift, Kirk Douglas, et bien d'autres.

Il est unaniment respecté dans la profession pour ça, y compris par la gauche d'Hollywood, car il a toujours manifesté un grand respect pour les individus et une grande culture, et du savoir vivre.
Il avait par exemple une grande affection pour les Mexicains et les sud américains, comme en témoigne ses mariages, et il fut apprécié au Mexique, et par les indiens et pas du tout considéré comme le méchant gringos.

De meme John Ford, mais j'en reparlerais dans l'analyse de ces films.

John Wayne le républicain avec le libéral démocrate Sinatra.

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Bob Hope, john Wayne, Reagan, Martin, Sinatra.
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MessageSujet: Re: John Wayne, le «père de tous les cow-boys»   John Wayne, le «père de tous les cow-boys» Icon_minitimeMar 2 Oct - 18:02

La liste des acteurs ayant tourné le plus de Western (d'aprés le recensement de nos amis de Western Movies ) :



84 John-WAYNE :vivejohn:

61 Randolph - SCOTT

43 Rod Cameron

34 Audie - MURPHY

33 Joel- McCREA
Georges Mongomery

31 Gary - COOPER

26 Rory Calhoun

23 Glenn - FORD

20 Charles - BRONSON

19 Henry - FONDA

18 James - STEWART
Robert - Mitchum

16 Lee - MARVIN
Guy Madison
Robert Ryan

15 Richard - WIDMARK
Burt - LANCASTER
Barry Sullivan

14 Kirk - DOUGLAS
Jeff - CHANDLER
Robert - TAYLOR
Burt - LANCASTER
Alan - LADD

13 Dana - ANDREWS
Clint - EASTWOOD

12 Charlton - HESTON
Jeff - CHANDLER
Fred - MACMURRAY


11 Van - HEFLIN
William - HOLDEN
Fred - MACMURRAY
Dean - MARTIN
John - PAYNE
Clint Walker

8 Errol - FLYNN

And the winner is haha :johway: :john:
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MessageSujet: Re: John Wayne, le «père de tous les cow-boys»   John Wayne, le «père de tous les cow-boys» Icon_minitimeVen 11 Oct - 17:33

Merci d'avoir fait le travail à notre place !
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MessageSujet: Re: John Wayne, le «père de tous les cow-boys»   John Wayne, le «père de tous les cow-boys» Icon_minitimeMar 7 Oct - 14:01

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MessageSujet: Re: John Wayne, le «père de tous les cow-boys»   John Wayne, le «père de tous les cow-boys» Icon_minitimeMar 3 Jan - 9:14

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MessageSujet: Re: John Wayne, le «père de tous les cow-boys»   John Wayne, le «père de tous les cow-boys» Icon_minitime

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