Atteint d'une maladie incurable, John Bernard BooksJohn Wayne, le dernier des professionnels légendaires de la gâchette, rentre calmement à Carson City pour recevoir des soins de son vieil ami le Dr Hostetler James Stewart. Sachant que ses jours sont comptés, il trouve confort et tranquillité dans une pension tenue par une veuve Lauren Bacall et son fils Ron Howard. Mais Brooks n'est pas destiné à mourir en paix; devant les perspectives de la déchéance physique et d'une agonie atroce, il choisit de partir comme il a toujours vécu, les armes à la main, dans un dernier combat. Fiche technique [modifier]
Éric Leguèbe, Histoire universelle du western, éditions France-empire, Paris, 1989
Éric Leguèbe, Ciné guide, 16000 fims de A à Z, France loisirs, Paris, 1993 (ISBN 2724275926)
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Sujet: Re: Le dernier des géants - The Shootist - 1977 Dim 4 Mai - 6:17
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Sujet: Re: Le dernier des géants - The Shootist - 1977 Lun 5 Mai - 7:42
Le Dernier des géants : Sortie(s) : 17 août 1977 (France)20 août 1976 (USA)
Titre original: The Shootist Genre: Drame,Western, Durée: 1h40 Pays: USA
Le casting du film
Réalisation : Réalisateur(s) Don Siegel
Comédiens : John Wayne Lauren Bacall Ron Howard James Stewart Richard Boone Hugh O'Brian Bill McKinney Harry Morgan John Carradine Sheree North Rick Lenz Scatman Crothers Kathleen O'Malley Melody Thomas Scott
Scénario :
Scénariste(s) Glendon Swarthout Scott Hale Miles Hood Swarthout
Production/Distribution :
Distributeur(s) Paramount Pictures France (France) Paramount Pictures (USA)
Éditeur DVD Seven 7
Informations annexes :
Lieux de tournage Carson City, Nevada, USA. Krebs Peterson House, 500 Mountain Street, Carson City, Nevada, USA. Warner Brothers Burbank Studios, 4000 Warner Boulevard, Burbank, Californie, USA. Washoe Lake State Park, 4855 Eastlake Boulevard, Carson City, Nevada, USA. Western Street, Warner Brothers Burbank Studios, 4000 Warner Boulevard, Burbank, Californie, USA.
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Sujet: Re: Le dernier des géants - The Shootist - 1977 Lun 5 Mai - 7:47
The Shootist, un film crépusculaire
Le film s’ouvre et se clôt sur des terres désolées. Des « no man’s land » annonçant l’évolution démographique du vaste territoire mais aussi symbolisant la perte et la fuite du temps. Les champs barbelés et hivernaux du début ont fait place à des toitures et des cheminées d’une ville désolée à la toute fin du film. Nous sommes en 1901. John Bernard Books (John Wayne) se rend à Carson city pour revoir son vieil ami, le docteur Hostetler (James Stewart), qui, dans le temps, lui sauva la vie. Arrivant le jour de la mort de la reine Victoria, John Bernard Books apprend qu’il souffre d’un cancer terriblement avancé. Il ne lui reste que quelques temps à vivre. Il va donc consacrer ses derniers jours à préparer son départ. Mais Books ne pourra échapper à sa réputation de « Shootist »…
The Shootist est donc un Western mais un western évacué de toutes ses figures de styles : Pas de chevauchée, pas de grands espaces et pas l’ombre d’un indien. Un film presque pauvre, dénué même de toute prétention stylistique. Un film qui ne s’encombre d’aucun message politique et qui n’a rien à raconter sinon les derniers jours d’un Gunfighter légendaire. S’il faut chercher une raison à cette sorte d’ascèse, c’est peut être parce qu’avant tout The Shootist est un film sur la mort.
La silhouette fantomatique de Books dans les premiers plans du film annonce en substance l’arrivée du prêtre dans Pale Rider d’Eastwood (1985). Le long plan séquence de la fin du générique nous fait découvrir le visage d’un vieillard malade et mourant. A peine arrivé dans la ville, Books est sommé par un citoyen de bouger « sa vieille carcasse ». Cette scène est un lointain écho à l’arrivée de Joel McCrea au début de Ride the High Country (Sam Peckinpah, 1962), le premier western crépusculaire de l’histoire. Dès l’annonce de sa mort prochaine, les habitants de Carson city vont réagir de deux manières :
- Certains vont tout faire pour exploiter financièrement un tel événement. Par exemple, le croque-mort (John Carradine) veut embaumer Books pour faire payer aux habitants de la ville 50 cents dans une procession caustique. Le chroniqueur, quant à lui, tente de publier une série d’aventures fallacieuses et mensongères sur le tueur sanglant d’un Ouest révolu…
- La dernière catégorie d’habitants veulent littéralement abattre Books pour la renommée et pour la gloire.
Le vieux tireur est donc déjà un homme mort avant même que sa dernière heure ne l’emporte. Avec un rythme laconique et parfaitement maîtrisé, le film nous présente une formidable galerie de personnages qui vont tous participer à la tragédie des derniers jours de Books. Réduit en apparence à leurs anciennes fonctions de topos, ils acquièrent évidemment dans ce film une épaisseur toute particulière : Le Cow-Boy, Le Shérif, La Veuve, Le Docteur, Le Bandit et le Croque-mort n’obéissent plus aux traits grossiers des autres productions. Dans ce film en effet, ils constituent eux mêmes le cœur du drame, en particulier le personnage de la veuve Rogers (magnifiquement interprétée par Lauren Bacall).
Car nonobstant d’être l’un des plus poignants westerns crépusculaires qui soient, The Shootist est aussi l’histoire d’un amour arrivé trop tard. La veuve Rogers cultivera une antipathie profonde pour cet homme qu’elle considère comme un tueur sans âme jusqu'à ce que le vieil homme lui avoue son terrible secret. Dès lors une sorte de lien tissé de respect et de tendresse va s’établir entre eux. Don Siegel, dont The Shootist n’était qu’une commande, parvient malgré tout à établir avec délicatesse et subtilité leurs itinéraires sentimentaux respectifs.
Cependant, ce qui fait aussi la force mortifère de The Shootist est peut-être cette fin magistrale (une fin qui dépasse le film seul), celle de la mort du mythe John Wayne. Une John Wayne atteint du cancer dans le film et dans la vie. Le film dépasse ainsi son statut de simple film et parle de l'homme Wayne qui a tout fait pour jouer dans ce film en dépit de sa maladie. Le tournage a même dû être interrompu pour cette raison. Stewart et Bacall sachant Wayne mourant ont tenu à faire partie de la distribution pour rendre un dernier hommage à ce mythe du cinéma mondial.
......................
La mort du mythe John Wayne
The Shootist semble donc l’aboutissement miraculeux des travaux de Hawks et Ford. Le film est d’ailleurs logiquement rempli de références directes (Cf. Le montage d’extraits du pré générique notamment). Pourtant, pas de pathos hollywoodien, pas de larmes, juste la crudité d'un héros qui trépasse. The Shootist est violent pour ce qu’il a d’ extra filmique, voire même de méta filmique. John Wayne n'est plus présenté comme un héros invulnérable, froid avec les hommes, les jeunes et les femmes, il est ici sensible, vulnérable, atteint dans sa chair. Les personnages du film vont même jusqu'à se moquer violemment de lui pendant tout le film. Il perd son statut divin, il est redevenu homme. Derrière le tueur, le cœur.
La fin de The Shootist, donc, est ce constat brut de John Wayne abattu dans le dos par un vulgaire barman (une mort volontairement peu digne d'un tel héros), et le dernier plan de Wayne, est une image de lui mort, au sol, une veste sur son visage, au milieu de statues. Au dessus de son corps inerte, en face de nous, une statue d’aigle. L’ultime regard de Stewart regardant la dépouille est en ce sens le plan le plus ambigu et le plus terrifiant du film : un petit sourire vient naître sur son visage. Est-il heureux de voir le héros Wayne mort dans le feu de l'action plutôt que dans une maladie longue et indigne ? Ou Stewart sourit-il du spectacle de la mort d’un héros ? Un sourire devant la violence et la mort ? Ou vanité d’un vieil homme qui se sait encore en vie, et qui se sait plus résistant que son ami de longue date ? Echo subtil au film Liberty Valance ? Ou peut-être sourire devant un mensonge ?
Le personnage interprété par James Stewart annonce le cancer à Wayne au début du film, il lui annonce sa mort, il lui apporte la mort en définitive. Stewart serait-il finalement dans The Shootist l’aigle noir de la mort qui boucle le film dans ce sourire ? Ce dernier duel entre Wayne et la mort est fatal. L’histoire du western s’achève sur ce paroxysme, sans larmes ni trompettes patriotiques. Mais dans l’ambiguïté la plus saisissante d’un genre qui est passé du manichéisme au trouble, avant d’être emporté à son tour. Un genre de la violence qui a débuté sur l’extermination d'un peuple et de se conclure avec la mort d’un seul homme, le plus symbolique de ses représentants.
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Sujet: Re: Le dernier des géants - The Shootist - 1977 Lun 5 Mai - 7:48
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Sujet: Re: Le dernier des géants - The Shootist - 1977 Lun 5 Mai - 7:54
pierre Pistolero
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Sujet: Re: Le dernier des géants - The Shootist - 1977 Mer 30 Déc - 21:18
Avez vous vu GRAND TORINO de et avec Clint eastwood?je trouve beaucoup de similitude entre ce film et THE SHOOTIST.Serait ce trop d'imagination de ma part ou Clint eastwood aurait t il voulu rendre un dernier hommage au DUKE ou est ce aussi son testament spirituel?
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Sujet: Re: Le dernier des géants - The Shootist - 1977 Mer 30 Déc - 22:15
pierre a écrit:
Avez vous vu GRAND TORINO de et avec Clint eastwood?je trouve beaucoup de similitude entre ce film et THE SHOOTIST.Serait ce trop d'imagination de ma part ou Clint eastwood aurait t il voulu rendre un dernier hommage au DUKE ou est ce aussi son testament spirituel?
je ne l'ai pas vu hélas mais dés qu'il sort en dvd je le regarderais, mais ce que tu dis ne m'étonnerais pas
pompon Duke's friend
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Sujet: Re: Le dernier des géants - The Shootist - 1977 Ven 8 Jan - 20:39
je l'ai regardé ce soir. excellent évidemment!
lasbugas Duke's friend
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Sujet: Re: Le dernier des géants - The Shootist - 1977 Dim 21 Mar - 17:56
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Sujet: Re: Le dernier des géants - The Shootist - 1977 Mar 23 Mar - 18:22
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joyadamson Duke's friend
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Sujet: Re: Le dernier des géants - The Shootist - 1977 Mar 23 Mar - 18:27
j'aime beaucoup ce film.
lasbugas Duke's friend
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Sujet: Re: Le dernier des géants - The Shootist - 1977 Mar 23 Mar - 18:38
joyadamson a écrit:
j'aime beaucoup ce film.
Une autre photo joyadamson
lasbugas Duke's friend
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Sujet: Re: Le dernier des géants - The Shootist - 1977 Dim 28 Mar - 19:02
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Sujet: Re: Le dernier des géants - The Shootist - 1977 Ven 9 Avr - 17:08
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Sujet: Re: Le dernier des géants - The Shootist - 1977 Sam 1 Mai - 17:38
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Sujet: Re: Le dernier des géants - The Shootist - 1977 Mar 27 Juil - 19:34
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Sujet: Re: Le dernier des géants - The Shootist - 1977 Lun 30 Aoû - 11:22
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Sujet: Re: Le dernier des géants - The Shootist - 1977 Lun 6 Sep - 18:28
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Sujet: Re: Le dernier des géants - The Shootist - 1977 Sam 18 Déc - 22:04
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Sujet: Re: Le dernier des géants - The Shootist - 1977 Lun 7 Fév - 12:28
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Sujet: Re: Le dernier des géants - The Shootist - 1977 Mer 16 Fév - 19:56
Je doute que les historiens du cinéma d'aucuns diront à la déclaration que John Wayne est l'acteur le plus mythique de l'histoire de Hollywood. Dans une carrière qui a culminé plus de quarante ans après son début, "Duke" Wayne littéralement grandi à être plus grands que la vie. Offscreen, il a été dit d'être un buveur épique, un bagarreur, un écrou papillon homophobes droit, un vrai patriote, un insoumis, des préjugés contre les Mexicains et les Indiens d'Amérique, un bon père, un mauvais mari, un fidèle ami de la fin et un ennemi que vous ne voulez pas avoir. Comme toutes les légendes, il était probablement au moins un peu de vérité dans la plupart de ces déclarations.
Sur le grand écran, cependant, il a été catalogué comme le héros ultime de son époque. Il a sauvé la scène, a attiré l'voleurs, sauvé le fort, a sauvé la jeune fille, a atterri sans problème dans l'avion, a gagné la Seconde Guerre mondiale, mis en déroute les communistes et pratiquement gagné Vietnam ainsi! Dans les premiers jours, il a même trouvé le temps de Lipsynch quelques chansons comme "Singin 'de sable."
Il a grandi avec le nom de Marion Morrison, mais préfère le surnom de "Duke" remis par la famille que le jeune Marion n'a jamais été loin de son chien de ce nom. C'était comme Duke Morrison qu'il est entré dans les films dans les années 1920 dans les coulisses des emplois et des pièces de peu. Pour 1930, l'Ouest La piste des géants, réalisateur Raoul Walsh lui a offert un rôle plus important et lui donna le nom de scène, John Wayne. Années de westerns B suivi, de concocter rapidement et offrant John Wayne comme charismatique modifiernative aux cow-boys fading comme Buck Jones et Hoot Gibson et une vedette parmi la foule plus jeune qui comprenait des gens comme Gene Autry et Bob Livingston.
En 1939, il est apparu comme le Kid Ringo à John Ford's A l'ouest de diligences. Il était une icône, la performance étoiles de décision si jamais il y avait un. De là, il semblait que tout était en or pour John Wayne. Pour son mentor Ford seul, il fait plus d'une douzaine d'autres apparences, tous les classiques désormais considéré - FORT APACHE, elle portait un ruban jaune, LA Homme qui tua Liberty VALENCE, etc
Dans les années 1940, il devient tout aussi bien connu pour ses films de guerre héroïque comme les Tigres Volants, Alerte aux marines et Retour aux Philippines. La blague est devenue celle de John Wayne à lui seul gagné la Seconde Guerre mondiale, mais en réalité, il n'est pas allé à la guerre comme beaucoup d'autres héros de Hollywood a fait. Wayne a reçu un ajournement de la famille au début et plus tard reports supplémentaires (peut-être encouragé par son studio, Republic Pictures) pour le travail. Elle est devenue une question controversée qui collait à la star tout au long de sa vie.
Néanmoins, la frappe juste continué à venir et par la fin des années 1950 et même dans les eaux tumultueuses années '60, John Wayne était toujours en tête des sondages au box-office et des graphiques. À un moment donné, il est même devenu l'une des célébrités de la vie réelle relativement peu d'étoiles dans son livre propre bande dessinée. Plus que jamais entrer dans la décennie des années hippies et les troubles civils, des personnages à l'écran par John Wayne et hors de l'écran semble de fusionner. Il a même vaincu le cancer dans le milieu des années soixante!
Duke a été marié trois fois - toutes les femmes latine - et dans le temps tous ses fils le suivit dans l'entreprise à un titre ou un autre. Il a établi sa propre société de production et a commencé à faire ses propres véhicules, qui ont tous contribué à perpétuer le "John Wayne" caractère.
En 1969, il a joué le maréchal bible et un fusil dans True Grit. Sauf pour le bandeau sur l'œil, le personnage n'était pas vraiment si différent de la ch stock John Waynearacter mais le film a offert plus d'une chance pour la caractérisation que la normale et Wayne est passé à l'occasion, a remporté le prestigieux Oscar du meilleur acteur pour ses efforts. Il reviendra sur le caractère quelques années plus tard. Immédiatement après True Grit, cependant, il était de retour aux affaires comme d'habitude avec un certain nombre de westerns inconséquent, mais très populaire et même un couple de thrillers modernes flic journée avec des éléments camp involontaire. Ensuite, pour la première fois en plus de quatre décennies est venu une année sans un film de John Wayne. Enfin, un an plus tard, a été des géants.
Avec son affiche élégant Richard Amsel, son directeur de la liste A et de ses acteurs triés sur le volet de soutien, son évident dès le début que de 1976 Le dernier des géants n'est pas un type John Wayne véhicule. Si le spectateur est à la recherche d'un rip-roaring traditionnels de l'Ouest, il doit chercher ailleurs. Si vous voulez voir une experte filmé, l'histoire à plusieurs niveaux au fil du temps et de la tradition avec des performances surprenantes de près toutes les parties concernées, ce qu'il est.
John Bernard Books est le dernier des géants dernière - un nom de fantaisie pour tireur - et c'est 1901. Le siècle a tourné, la reine Victoria est décédée, les jours de cheval et buggy se terminent et les livres se trouve un anachronisme vivant. Il est aussi mourir d'un cancer et fait un choix conscient de s'installer dans une ville et mourir tranquillement. Malheureusement, sa réputation s'oppose à cela.
Même une fois que leorgueilleux se trouve avoir à demander de l'aide il ya toujours ceux qui veulent faire leur réputation en le tuant. Une durée de vie de la violence a fait de lui philosophiques sur la vie et la mort, mais il doit encore faire face à son propre déshonneur. En fin de compte, il se rend compte qu'il a de prendre le contrôle de son propre destin dans son propre chemin. Même alors, si, il doit faire face à ses effets sur les autres.
Le dernier des géants de la seule offre de meilleures performances en qualité de Wayne. Comme charismatique que jamais (et de sport une moustache et une barbiche inhabituelle de petite taille), il est tour à tour énergique, tendre et étonnamment subtile à des moments où il négocie les derniers jours de son personnage. Peut-être parce qu'il en parallèle ses propres peurs de la vie réelle, Wayne semble plus investi dans ce rôle que tous ceux qui l'ont précédé. John B. Les livres, comme Wayne, gagné chaque combat, il n'a jamais été dans mais maintenant il était dans une il savait qu'il ne pouvait tout simplement pas gagner.
Duke est aidé énormément par le réalisateur Don Siegel et quelques belles cinématographie. Connu pour ses films d'action comme DIRTY HARRY, Siegel allures ici tout juste sous nos yeux Livres tentent désespérément de maintenir son sens de la dignité face à la montée de cotes de tous les côtés. Sans doute la meilleure équipe de soutien jamais trouvé dans une image de John Wayne, presque tous seul rôle est rempli d'un visage familier en pleine forme. Lauren Bacall donne une performance nourrir comme propriétaire de la maison d'embarquement qui se réchauffe lentement à l'humanité des géants en difficulté. Elle facilement canaux à la fois ses propres forces naturelles ainsi que la sensibilité d'une veuve et mère dans la position de son personnage. Future réalisateur Ron Howard (post AMERICAN GRAFFITI, mais pré-HAPPY DAYS) est tout dégingandé et dégingandé comme fils Bacall a Gillum qui idolâtre livres et à la fin obtient sa chance d'être le tireur chien haut et jette littéralement loin, à la grande satisfaction des la légende de mourir.
Handsome Hugh O'Brian (TV Wyatt Earp), scraggly Richard Boone (Paladin TV) et le caractère acteur Bill McKinney (de l'infamie Deliverance) sont les Livres trio choisit comme ses assassins possible. Harry Morgan (MASH) est le maréchal de longue haleine moderne de la ville, John Carradine l'entrepreneur de pompes funèbres. Il ya aussi le Crothers toujours délicieuse Scatman qui a une scène merveilleuse marchandage avec les livres sur le coût d'achat de son cheval. Jimmy Stewart a un petit rôle, mais essentiel du médecin qui confirme aux livres qu'il est mourant d'un cancer. D'autres visages familiers
comprennent Sheree du Nord, Rick Lenz (de TV HEC RAMSEY avec Richard Boone) et ancien acteur Dick caractère Winslow. Même une partie jetable d'une jolie fille dans un tramway près de l'extrémité est alors inconnue Melody Thomas (Scott) qui est allé à de nombreuses années sur les jeunes et l'agité.
Ouverture avec des scènes de films de John Wayne tôt utilisé comme flash-back à la vie de John Livres »et se terminant par la mort violente du personnage, Le dernier des géants se donne comme rien de moins que l'aboutissement de la longue carrière de l'acteur - un hommage élégiaque à John Wayne - qui C'est exactement ce qu'il s'est avéré être. Il a également été pas vraiment un succès. Dans certains marchés assez grand, il n'a même pas ouvert dans les grands théâtres. Néanmoins, l'année suivante, John Wayne a reçu le Prix du public pour acteur préféré.
Wayne aurait prévu tout au long de sa retraite après Le Dernier des géants bien qu'il y ait un certain nombre de rapports publiés à l'époque où il était d'envisager un autre projet. Tout film ou des films supplémentaires aurait inévitablement été décevante. En fait, le seul autre projet qui a été concrétisé une série de publicités pour la télévision banque pour laquelle il a
aussi largement critiqué. On a dit qu'ils étaient "en dessous de lui."
Au cours des prochaines années, John Wayne a reçu un hommage à de nombreux endroits et à bien des égards, des rôtis de médailles à des statues. Il est apparu à la télévision de divers salons comme lui-même jusqu'à ce que son propre cancer inévitablement refait surface et sa santé déclina. À sa mort, à la mi-1979, il a été célébré en tant que John Wayne, American et les hommages cessé d'affluer. John Wayne avait déjà eu son hommage le plus élégant, mais - Le dernier des géants.
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Sujet: Re: Le dernier des géants - The Shootist - 1977 Dim 1 Avr - 16:53
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Sujet: Re: Le dernier des géants - The Shootist - 1977 Jeu 26 Sep - 19:45
Behind the Scenes on the Shootist / John Wayne 1976 Interview
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Sujet: Re: Le dernier des géants - The Shootist - 1977 Dim 15 Déc - 18:01
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Sujet: Re: Le dernier des géants - The Shootist - 1977