John Wayne, un homme, une légende
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John Wayne, un homme, une légende


 
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MessageSujet: Biographie.   Biographie. Icon_minitimeLun 7 Jan - 10:31

John Wayne. His Way...........


"Laid, Fort et avec Dignité

Feo, Fuerte y Formal


Ugly, Hardly and with dignity

Brutto, forte e con dignità"



John Wayne par lui-même











..
















Dernière édition par Admin le Mer 26 Mar - 10:06, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: Biographie.   Biographie. Icon_minitimeLun 7 Jan - 10:32

John Wayne 1907 / 1979 d'aprés Hollywood Boulevard

Biographie. Image004yw0


Page de John Wayne :

http://www.hollywoodboulevard.fr/john_wayne_1907___1979_147.htm

Page d'accueil :
http://www.hollywoodboulevard.fr/accueil_097.htm

Parler des stars du cinéma américian qui ont contribué à construire la légende d' Hollywood, sans parler de John Wayne, pourrait être considéré comme un crime dans certains états des Etats Unis. N'allons tout de même pas jusque là, mais John Wayne fut vétitablement une icône hollywoodienne, des années 30 jusqu'au début des années 70. Il incarna le héros par excellence, celui avec lequel les spectatrices comme les spectateurs se sentaient en sécurité, mais par dessus tout, il incarna à merveille le cowboy pour plusieurs générations. Aujourd'hui encore, il est resté celui qui fit revivre à l'écran le mythe de l'ouest américain, le mythe du cowboy solitaire, endurci par ses nombreuses aventures et ses heures de chevauchée dans le désert, , mais toujours prêt à défendre la veuve et l'orphelin au péril de sa vie...


Il est né le 26 mai 1907, à Winterset, dans l'Iowa. Il s'appelle en fait Marion Michael Morisson, mais prend le pseudonyme de John Wayne quelques années après ses premiers films. Il débute donc sa carrière à l'âge de vingt ans à la Fox, comme accessoiriste, puis le jeune réalisateur Willard Webb lui propose un rôle de figuration dans un film nuet. Marion Morisson est alors très vite remarqué par John Ford et cette rencontre va changer toute sa carrière. John Ford lui aurait alors déclaré : " Mon garçon, je viens de voir les rushes. Vous n'apparaissez que quelques secondes et je vous assure que vous ne passerez pas inaperçu. Vous avez une allure impressionnante et un visage tendre. Vous êtes aussi très gauche, ce qui attire la sympathie. si vous restez à la Fox, je m'engage à vous faire jouer dans mes trois prochains films. Bien sûr, je ne puis répondre de votre avenir, mais prenez toujours ça, c'est mieux que rien ".



A partir de là, John Wayne va jouer dans différents genres de films, du western , à la comédie musicale et petit à petit, il devient la vedette de ses films. En 1930, John Ford tourne un film de guerre et lui confie son premier rôle important, Men Without Women est un premier pas vers le succès. Puis les années passent et il se retrouve à jouer dans des westerns de série B où il a cependant le premier rôle.

Extrait d'interview de John Wayne parlant de ses débuts au cinéma


interview john wayne
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http://www.hollywoodboulevard.fr/john_wayne_1907___1979_147.htm

C'est en 1939, après une bonne dizaine d'années de carrière, que John wayne va enfin prendre son envol et crever l'écran. John ford, encore lui, prépare le tournage d'un nouveau western, après avoir abandonné le genre depuis près de dix ans. Il cherche alors sa vedette masculine, songeant tout d'abord aux stars de l'époque comme Errol Flynn ou Gary Cooper , mais ces derniers sont indisponibles. Il pense alors à faire appel à John Wayne, qu'il a déjà dirigé auparavant. Après quelques négociations pour engager Wayne, alors sous contrat dans les Studios Republic , il réussit à en faire la vedette de son prochain film. Ce sera alors le tournant de la carrière de Wayne qui ne pouvait se douter que ce rôle dans Stagecoach ( La chevauchée Fantastique ) l'emporterait au sommet de la gloire et ferait de lui une véritable star du cinéma mondial....

Extrait de : La chevauchée fantastique, disponible en DVD chez: Amazon.fr


Chevauchée fantastique
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C'est en effet en incarnant le rôle de Ringo Kid que John Wayne va enfin prendre son envol et devenir la star de cet Hollywood des années 40. Ce rôle le marquera indirectement jusqu'à la fin de ses jours, car il enfilera tout au long de sa carrière le fameux costume du cowboy qui lui allait si bien.


Le film fut un tel succès que la RKO reforma le couple d'acteurs Claire Trevor - John Wayne la même année, dans un second film,Alegheny Uprising. Et pour ne pas arrêter en si bon chemin une formule qui marche, la Republic en fit de même dans un film de guerre de Raoul Walsh , The Dark Command ( L'escadron noir, 1940 ). Cette technique était très répandue et bien souvent les acteurs formaient de véritables couples à l'écran dans de nombreux films afin de fidéliser le public. Bien avant les suites en série, Hollywood avait inventé des méthodes commerciales pour attirer le spectateur. John Wayne forma par exemple un couple cinématographique très célèbre avec Maureen O'hara dans de nombreuses productions, la plupart du temps sous la direction de John Ford, qui aimait s'entourer de ses acteurs fétiches.

Les années 40 vont sonner momentanément le glas des westerns et apporter à Wayne le succès au travers de films d'aventure et de films de guerre destinés à la propagande américaine en cette période de guerre mondiale. Ce qui lui apporta satisfaction, car cet immense personnage ne cachait pas son amour de la patrie et ses idéaux patriotiques, considérés plus tard comme du chauvinisme mal placé. Chacun sera libre de juger, mais cet homme de l'Iwoa, de la "campagne américaine", avait grandi dans l'amour de son pays et les reproches qui lui seront fait à la fin de sa vie, le seront dans un tout autre contexte politique que celui qui vit les années de gloire de notre héros. Les nouveaux idéaux de gauche véhiculés par la société et par les stars des années soixante-dix, ne firent que marquer encore plus la différence entre cet homme de droite, qui incarna le héros par excellence et les vedettes montantes de l'époque, qui à l'instar de Robert de Niro, Al Pacino ou encore Dustin Hoffman, incarnaient l'anti-héros, le monsieur tout le monde plongé dans un monde exclusivement urbain, que le public désirait voir à cette époque.

Toujours est-il, qu'au tournant des années 40, John Wayne continua sa carrière et qu'on le retrouva par exemple dans Flying Tigers ( Les tigres volants, 1942 ) de David Miller, dans Reunion in France ( Quelque part en France, 1943) de Jules Dassin, dans The Figthing Seabess ( Alerte aux Marines, 1944 ) d' Edward Ludwig. En 1946, John Wayne rencontrera pour la première fois celui qui le terrassera à la ville comme à l'écran, selon ses propres mots " Big C ", le cancer. Une première douleur lui foudroie la poitrine et le conduit une semaine à l'hopital, dont il ressort en déclarant à la presse : " Il paraît que je fume trop. Quatre paquets par jour en moyenne! Le chirurgien m'a donc fait un petit trou pour permettre à mes poumons de s'aérer. Rassurez-vous, ou peut-être attristez-vous, je vais recommencer à tourner ! "

Cette alerte ne l'empêcha pas de reprendre le chemin des studios de cinéma et il termina cette décénie en beauté, en tournant dans trois succès, Red River ( La rivière rouge, 1948 ) de Howard Hawks avec lequel il allait par la suite tourner de nombreux films, Sands of Iwo jima ( Iwo Jima, 1949 ) d' Allan Dwan et She wore a yellow ribbon ( La charge héroïque, 1949 ) avec son vieux complice John Ford . Dans Red River, il fut opposé au jeune Montgomery Clift, dont c'était le premier rôle et dont le jeu très Actor Studio, tout en subtilité et introverti s'opposait clairement à celui de Wayne, bien plus énergique de la vieille école hollywoodienne. Le tournage du film fut chaotique et Wayne discuta fermement avec Hawks sur plusieurs aspects de la réalisation. Cependant de la confrontation naquit une réussite et le film fut un succès. Mais le talent de Wayne ne fut pas vraiment salué par la critique. Les journaux de l'époque saluèrent Hawks et Clift, mais Wayne, en acteur de Cowboy n'était pas très bien considéré par les critiques intellectuelles du moment. Mais cela ne l'empêcha pas d'aborder les années 50 auréolé de son statut de star auprès du public. Le mythe était né malgré une certaine presse et John Wayne allait à présent s'imposer de plus en plus au cinéma, allant plus tard, jusqu'à produire et enfin réaliser ses propres films, même si il fut parfois maladroit dans cet exercice.


Les années 50 furent par excellence "les années John Ford" qui réunirent les deux amis dans de nombreuses productions comme Rio Grande en 1950 avec Maureen O'Hara, tourné dans un superbe noir et blanc et qui concluait la trilogie de John Ford dédiée à la cavalerie américaine composée aussi de Fort Apache ( Le massacre de Fort Apache, 1948 ) et She wore a yellow ribbon ( La charge héroïque,1949 ). Ford allait réunir les deux acteurs dans un autre grand film, The Quiet Man ( L'homme tranquille, 1952 ) pour lequel il décrocha l'Oscar du meilleur réalisateur. Ce film est un peu à part dans l'oeuvre de Ford, il y règne un climat de douceur et de bien-être, il traite tout en délicatesse de l'histoire d'un homme, qui décide de rentrer chez lui en Irlande, retrouver ses racines après avoir vécu des drames personnels et fait fortune aux USA en boxant. L'histoire d'amour entre Wayne et O'Hara respire la fraîcheur et la sincérité et la complicité des deux acteurs à la ville comme à l'écran ne passe pas inaperçue. Et cela même si leur relation se limitait à une amitié sincère. Ils restèrent amis jusqu'à la mort de Wayne. Ford avait une nouvelle fois réunit son équipe favorite de techniciens et de seconds rôles; ainsi on peut y voir War Bond, Mildred Natwick, Francis Ford, Barry Fotzgerald et l'impressionnant Victor McLaglen opposé à Wayne dans un combat à main nue mémorable, qui resta longtemps comme la bagarre la plus longue de l'histoire du cinéma.


Extrait de : L'homme tranquille. Ce film est disponible en DVD chez: Amazon.fr

L'homme tranquille
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John Ford le fit encore tourner dans bien d'autres films, dont le remarquable The searchers ( La prisonnière du désert, 1956 ), où la prisonnière des indiens était jouée par Nathalie Wood. Ce film est une oeuvre plus sombre et plus torturée que les précédentes de Ford. Il y règne un climat troublant et Ford y offre un rôle bien plus abouti à John Wayne, qui y incarne un cowboy agressif, détestant ouvertement les indiens et prêt à tout pour retrouver celle qu'il cherche. Sur le tournage et d'après les commentaires, Wayne se montra bien plus impliqué que dans la plupart des ses autres films, il vivait son personnage en dehors du tournage, comme habité par son rôle d'homme tourmenté par ses contradictions intérieures. Le film fut un nouveau succès pour Ford et Wayne qui se retrouvèrent pendant cette période, en autre, dans The wings of eagles ( L'aigle vole au soleil, 1957 ), dans The horse Soldiers ( Les cavaliers, 1959 ), ou encore dans l'excellent The man who shot Liberty Valance ( L'homme qui tua Liberty Valance, 1962 ) et enfin dans le plus contestable Donovan's Reef ( La tarverne de l'irlandais, 1963 ) qui fut leur dernier film ensemble.

En 1959, Howard Hawks lui offrit le rôle principal de son western Rio Bravo, au côté de l'acteur-chanteur Dean Martin, de Angie Dickinson et du jeune chanteur Ricky Nelson qui jouait alors son premier rôle. Ce fut un succès et John wayne était à l'apogée de son statut de star du cinéma. Il incarna encore une fois à merveille, le cowboy, le dur redresseur de torts et soucieux de justice et d'amitié. Si Wayne fut aussi excellent dans ce genre d'exercices, c'est sans doute parce qu'il plaçait l'amitié et les valeurs qu'il croyait justes, au-dessus de tout. Cependant, il livra une confidence en 1977 au journal Paris-Match : "Si tout était à refaire, je crois que je serais plus attentionné envers certains membres de ma famille que j'ai peut-être négligé ...". Il faut dire que le Duke, puisque c'est comme cela qu'on l'appelait, était un dur à l'écran comme à la ville et qu'il n'était pas très expansif sur ses sentiments.

Les années soixante marquèrent un tournant dans la carrière de l'acteur qui se décida pour la première fois en 1960, à passer derrière la caméra. Il faut dire, que le projet qu'il développa lui trottait dans la tête depuis un long moment et qu'il avait été à bonne école, en étant dirigé pendant des années, par les plus grands maîtres de la réalisation. Il se lança donc dans la production et le tournage d'un film à la gloire du courage américain et plus particulièrement à celui des texans et il réussit à conavincre les financiers texans de l'aider, puis mit en jeux une partie de sa fortune dans The Alamo ( Alamo, 1960 ), la plus grosse production de son temps, avec 1,5 million de dollars de budget. Wayne déclara alors, à l'époque, au journal Paris-Match :" Nous voulons faire revivre un moment d'histoire, qui mettra sous les yeux des jeunes américains les sanglantes réalités que leurs ancêtres ont dû traverser et vaincre pour posséder ce qu'ils ont aujourd'hui, cette chose qu'il faut être prêt à payer de sa vie, comme eux l'ont fait: la liberté ". Cette déclaration prend toute son ampleur quand on connait le patriotisme de l'acteur et la sincérité avec laquelle il s'exprimait à ce sujet. Même si cela le conduisit plus tard, à des excès de patriotisme en réalisant le très discutable The green Berets ( Les Bérets verts, 1969 ), un fim de guerre destiné à soutenir l'engagement militaire des USA dans la guerre du Viêt-nam. Le film ne fut ni une réussite artistique, ni un succès commercial. Il fut mal perçu par le public de par l'idéologie qu'il véhiculait et il ne fut de toutes façons pas un film capable de marquer le cinéma. Mais chacun faisant des erreurs, il ne faut sans doute pas en tenir rigueur à son acteur-réalisateur. Quant à The Alamo, ce fut un succès et un bon film maîtrisé et réalisé avec talent, Wayne ayant reçu les précieux conseils de John Ford pour la réalisation.

....à suivre...............


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MessageSujet: Re: Biographie.   Biographie. Icon_minitimeLun 7 Jan - 10:32

..........suite............

John wayne parcoura donc les années soixante en tournant dans de nombreux films, dont certains grands westerns. En 1962, il retrouva Ford pour un autre chef d'oeuvre The man who shot Liberty Valance ( L'homme qui tua Liberty Valance, 1962 ), puis tourna une nouvelle fois avec Howard Hawks dans l'excellente comédie d'action Hatari ( Hatari, 1962 ) tournée dans de superbes décors naturels africains et enfin Hawks explora une nouvelle fois le thème de l'amitié et l'entraide entre cowboy qu'il avait abordé dans Rio Bravo et lui offrit donc un autre grand rôle dans le somptueux El Dorado ( El Dorado, 1966 ) au côté de Robert Mitchum. A noter que Wayne s'illustra dans de très bons westerns durant cette décénie, comme dans The Commancheros ( Les Commancheros, 1961 ) de Michael Curtiz qui réalisa là son dernier film, ou encore dans The sons of Katie Elder ( Les 4 fils de Katie Elder, 1965 ) de Hal Wallis . A noter aussi qu'il participa comme tant d'autres acteurs, à la reconstitution cinématographique du débarquement des alliés en Normandie, le 6 juin 44 dans The Longest Day ( Le jour le plus long, 1962 ).


Extrait de : El Dorado. Ce film est disponible en DVD chez: Amazon.fr

El Dorado
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Au tournant des années soixante-dix, c'est un John Wayne vieillissant et usé par la maladie qui apparait sur les écrans de cinéma. Détruit non seulement par un cancer qui le ronge depuis des années, mais par une vie bien remplie, peut-être trop bien, une vie dont il profita en abusant certainement un peu trop du tabac et des soirées entre amis innondée de tequila. Quelques westerns lui offrirent cependant encore de bons rôles, comme Chisum ( Chisum, 1970 ) tourné par Andrew .V Mclaglen ( le fils de Victor McLaglen son vieux complice de cinéma )dans lequel il côtoie un jeune Billy the Kid ou encore Rio Lobo ( Rio lobo, 1970 ) retrouvant encore Howard Hawks à la réalisation. Mais si il fallait se rappeler d'un seul film de la fin de carrière de Wayne, si on voulait comprendre qui était cet immense acteur, il ne faudrait se rappeler que de son dernier film The Shootist ( Le dernier des géants, 1976 ) de Don Siegel qui fit tourner Clint Eastwood quelques années plus tôt dans Dirty Harry ( L'inspecteur Harry, 1971 ).

The Shootist est le testament de Wayne, qui voyant son état de santé s'aggraver, devait se douter qu'il tournait là son dernier film et que la dernière révérence était proche. La fiction rejoignit étrangement la réalité, car il incarna dans ce film un vieux cowboy atteint du cancer, refusant son destin, dépassé par un XXe siècle qui le rattrapait, mais bien décidé à livrer son dernier combat avec gloire et panache. Ce film ne fut pas vraiment un succès, et comme l'écrivit si justement Philippe Labro en consacrant un article émouvant à John Wayne dans un numéro de Paris-Match de 1977 : " Peut-être qu'on aime plus les westerns. Il est vrai qu'un western qui ressemble plus à une nouvelle d' Hemingway sur le viel Homme et la mort, et dont les moments les plus forts sont une promenade le long d'un lac dans la lumière froide de l'hiver avec un dialogue entre une veuve qui commence à avoir l'air un peu marqué ( c'est Lauren Bacall ) et le Vieux qui la trouve pourtant bien attirante, il est vrai que ça peut tenir le public à distance. Peut-être qu'il y a trop de vieux dans ce film. C'est peut-être ça le problème: les vieux. Il est vieux , John Wayne. Si il disparaît, c'est les enfants qui l'auront tué, pas les indiens et pas le cancer, avec un C majuscule comme il disait dans ses interview à sa sortie de l'hopital ".

Si Philippe Labro précise que les " assassins " de Wayne sont probablement les enfants, c'est qu'il écrivit cet article à la fin des années soixante-dix et que cette période marqua un tournant dans l'histoire du cinéma; elle vit la recherche de nouvelles recettes cinématographiques, capables d'attirer les spectateur et aussi l'avènement du cinéma fantastique ou de science-fiction à la Star Wars qui emportait les foules dans un autre genre de cinéma et plus particulièrement les enfants, donnant une claque monumentale au cinéma à la John Wayne. Et elle vit aussi le succès des séries télévisées qui détournaient les spectateurs des salles obscures. C'est donc à cette période charnière que fut tourné The Shootist, l'ultime hommage à un géant de l'ouest, un géant des salles obscures, un des rares mythes vivants du cinéma, John Wayne, le dernier des géants.

Extrait de : Le dernier des géants. Ce film est disponible en DVD chez: Amazon.fr

Le dernier des géant
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Les dernières années de la vie de Wayne furent ponctuées d'opérations chirurgicales. Si l'on en croit les témoignages de ses proches, à l'image des personnages qu'il a incarné, il fut des plus courageux jusqu'à la fin. En 1978, alors qu'il était gravement malade et qu'il venait de subir une ablation de l'estomac, il déclarait à la presse : " J'ai vécu des années avec un seul poumon. Maintenant me voilà libéré de tout souci avec mon estomac ". Mais la maladie ne lui laissa pas le temps de se consacrer à ses projets, ni à celui qu' il avait alors avec le rélalisateur Robert Aldrich , ni celui d'une série documentaire consacrée à sa propre vie. Le 11 juin 1979 à Los Angeles, ayant lutté jusqu'au dernier moment contre la maladie, John wayne tire sa révérence. Avec lui s'éteint un certain cinéma et le western classique perd son dernier représentant. Mais les acteurs ne meurent pas complètement et les écrans blancs ou plus souvent les écrans de télévisions ressuscitent pendant quelques heures de vieux dinosaures comme John Wayne. Quant au western, il prit d'autres directions et Clint Eastwwod lui écrivit de nouvelles lettres de noblesse en incarnant de nouveaux cowboys solitaires dans les westerns spaghetti. Le western classique disparu pendant quelques années des studios d' Hollywood, mais ressurgit d'outre-tombe sous la brillante direction de Kevin Costner qui réalisa le très réussi Dances with wolves ( Danse avec les loups, 1991 ) et le somptueux Open range ( Open range, 2004 ) qui est un véritable hommage aux classiques du western, avec une magnifique photographie, une interprétation juste et sans faille et une efficace réalisation toute en finesse.


Extrait de : Open range. Ce film est disponible en DVD chez: Amazon.fr


Open range
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John Wayne restera cependant l'incarnation même du cowboy et il est un des rares acteurs de ces années hollywoodiennes, qui n'a pas été totalement oublié et qui est encore connu des jeunes générations. Et puis quel acteur peut se targuer de n'avoir pas moins que deux statues grandeur nature, érigées dans des lieux publics en son honneur, si ce n'est John Wayne...

Biographie disponible sur John Wayne

-M. Zolotow, " John Wayne ou l'épopée du courage, France-empire, 1979.

-C. Dureau, " John Wayne : Un homme, une légende ", Dualpha, 2005.

-A.G. Mancino, " John Wayne ", Gremese International, 1998.



Filmographie

Les années 1920

Brown of Harvard (1926)
Bardelys the Magnificent (1926)
The Great K & A Train Robbery (1926)
Annie Laurie (1927)
The Drop Kick (1927)
Mother Machree (1928)
Four Sons (1928)
Hangman's House (1928)
Speakeasy (1929)
The Black Watch (1929)
Noah's Ark (1929)
Words and Music (1929)
Salute (1929)
The Forward Pass (1929)

Les années 1930
Men Without Women (1930)
Born Reckless (1930)
Rough Romance (1930)
Cheer Up and Smile (1930)
The Big Trail (1930)
Girls Demand Excitement (1931)
Three Girls Lost (1931)
Arizona (1931)
The Deceiver (1931)
Range Feud (1931)
Maker of Men (1931)
The Voice of Hollywood No. 13 (1932)
Running Hollywood (1932)
The Shadow of the Eagle (1932)
Texas Cyclone (1932)
Two-Fisted Law (1932)
Lady and Gent (1932)
The Hurricane Express (1932)
The Hollywood Handicap (1932)
Ride Him, Cowboy (1932)
That's My Boy (1932)
The Big Stampede (1932)
Haunted Gold (1932)
The Telegraph Trail (1933)
The Three Musketeers (1933)
Central Airport (1933)
Somewhere in Sonora (1933)
His Private Secretary (1933)
The Life of Jimmy Dolan (1933)
Baby Face (1933)
The Man From Monterey (1933)
Riders of Destiny (1933)
College Coach (1933)
Sagebrush Trail (1933)
The Lucky Texan (1934)
West of the Divide (1934)
Blue Steel (1934)
The Lawless Frontier (1934)
Helltown (1934)
The Man from Utah (1934)
Randy Rides Alone (1934)
The Star Packer (1934)
The Trail Beyond (1934)
The Lawless Beyond (1934)
'Neath the Arizona Skies (1934)
Texas Terror (1935)
Rainbow Valley (1935)
The Desert Trail (1935)
The Dawn Rider (1935)
Paradise Canyon (1935)
Westward Ho (film) (1935)
The New Frontier (1935)
Lawless Range (1935)
The Oregon Trail (1936)
The Lawless Nineties (1936)
King of the Pecos (1936)
The Lonely Trail (1936)
Winds of the Wasteland (1936)
Sea Spoilers (1936)
Conflict (1936)
California Straight Ahead! (1937)
I Cover the War (1937)
Idol of the Crowds (1937)
Adventure's End (1937)
Born to the West (1937)
Pals of the Saddle (1938)
Overland Stage Raiders (1938)
Santa Fe Stampede (1938)
Red River Range (1938)
Stagecoach (1939)
The Night Riders (1939)
Three Texas Steers (1939)
Wyoming Outlaw (1939)
New Frontier (film) (1939)
Allegheny Uprising (1939)

Les années 1940
Meet the Stars: Cowboy Jubilee (1940)
Three Faces West (1940)
The Long Voyage Home (1940)
Seven Sinners (1940)
A Man Betrayed (1941)
Lady from Louisiana (1941)
The Shepherd of the Hills (1941)
Meet the Stars: Past and Present (1941)
Lady for a Night (1942)
Reap the Wild Wind (1942)
The Spoilers (1942)
In Old California (1942)
Flying Tigers (1942)
Pittsburgh (1942)
Reunion in France (1942)
A Lady Takes a Chance (1943)
In Old Oklahoma (1943)
The Fighting Seabees (1944)
Tall in the Saddle (1944)
Flame of Barbary Coast (1945)
Back to Bataan (1945)
They Were Expendable (1945)
Dakota (1945)
Without Reservations (1946)
Angel and the Badman (1947)
Tycoon (1947)
Red River (1948)
Fort Apache (1948)
Three Godfathers (1948)
Wake of the Red Witch (1948)
The Fighting Kentuckian (1949)
She Wore a Yellow Ribbon (1949)
Screen Snapshots: Hollywood Rodeo (1949)
Sands of Iwo Jima (1949)
Dark Command (1940)

Les années 1950
Rio Grande (1950)
Screen Snapshots: Reno's Silver Spur Awards (1951)
Operation Pacific (1951)
The Screen Director (1951) (short subject)
Screen Snapshots: Hollywood Awards (1951)
Flying Leathernecks (1951)
Miracle in Motion (1952)
The Quiet Man (1952)
Big Jim McLain (1952) )
Trouble Along the Way (1953)
Island in the Sky (1953)
Hondo (1953)
The High and the Mighty (1954)
The Sea Chase (1955)
Screen Snapshots: The Great Al Jolson (1955)
Blood Alley (1955)
The Conqueror (1956)
The Searchers (1956)
The Wings of Eagles (1957)
Jet Pilot (1957)
Legend of the Lost (1957)
I Married a Woman (1958)
The Barbarian and the Geisha (1958)
Rio Bravo (1959)
The Horse Soldiers (1959)

Les années 1960
The Alamo (1960)
North to Alaska (1960)
The Challenge of Ideas (1961)
The Comancheros (1961)
The Man Who Shot Liberty Valance (1962)
Hatari! (1962)
The Longest Day (1962)
How the West Was Won (1962)
McLintock! (1963)
Donovan's Reef (1963)
Circus World (1964)
The Greatest Story Ever Told (1965)
In Harm's Way (1965)
The Sons of Katie Elder (1965)
Cast a Giant Shadow (1966)
El Dorado (1966)
A Nation Builds Under Fire (1967)
The War Wagon (1967)
The Green Berets (1968)
Hellfighters (1968)
True Grit (1969)
The Undefeated (1969)

Les années 1970
No Substitute for Victory (1970) (documentaire)
Chisum (1970)
Rio Lobo (1970)
Big Jake (1971) (also co-director)
Directed by John Ford (1971) (documentaire)
The Cowboys (1972)
Cancel My Reservation (1972)
The Train Robbers (1973)
Cahill U.S. Marshall (1973)
McQ (1974)
Brannigan (1975)
Rooster Cogburn (1975)
Chesty: Tribute to a Legend (1976) (documentaire)
The Shootist (1976)
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MessageSujet: Re: Biographie.   Biographie. Icon_minitimeJeu 24 Avr - 10:22

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MessageSujet: Re: Biographie.   Biographie. Icon_minitimeSam 26 Juin - 9:55

MARION MORRISON

Biographie. Marionmorrison
Position : OL
Trojan de :
1925 à 1927
Distinctions :
/

Ce nom ne vous dit certainement rien, à moins d'être un grand fan. Car Marion Morrison, le jeune fermier californien qui a joué tackle chez les Trojans, est plus connu sous le nom de John Wayne ! Et oui, vous avez bien lu ! Avant de devenir la vedette de westerns hollywoodiens que l'on connait, John Wayne envisageait de devenir joueur professionnel ou avocat. C'est pourquoi il a rejoint l'University of Southern California, après qu'il ait été refusé à l'U.S. Naval Academy.

Champion en 1924 avec l'équipe de football de son lycée de Glendale dont il était la vedette, grâce à sa grande taille intimidante. Il obtient une bourse grâce au sport à USC, où il décide d'étudier le droit. Sa grande taille et sa force ne lui permettent pas de s'imposer chez les Trojans du légendaire coach Howard Jones car le football universitaire requiert des joueurs très rapides, et la vitesse est le défaut de Marion Morrison. Pour augmenter sa bourse, il travaille pour les fraternités et devient même membre des Trojan Knights et de la fraternité Sigma Chi.

Après son année Sophomore, sa bourse scolaire lui est retirée et il ne peut continuer ses études faute de moyens financiers. La raison invoquée est une blessure qui a mis fin à sa carrière sportive, contractée alors qu'il faisait du bodysurf à Newport Beach. Il avouera qu'il n'avait pas donné le motif de sa blessure à son coach de peur de sa réaction. Marion Morrison avait déjà commencé à travailler pour des studios de cinéma locaux pendant les vacances d'été en échange de billets pour les matches des Trojans. Il est même apparu avec ses équipiers dans quelques films. Il change son nom en "John Wayne" en 1930 et devient rapidement la grande star que l'on connait.

John Wayne, ou Marion Morrison à l'époque, n'a peut être pas marqué l'histoire des Trojans mais il est devenu une telle légende que le compter parmi les anciens joueurs d'USC est une vraie fierté, et je l'ai donc choisi pour inaugurer cette nouvelle section où je vous ferais découvrir ou vous en apprendrais plus sur les grandes gloires Trojans.

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MessageSujet: Re: Biographie.   Biographie. Icon_minitimeSam 5 Mar - 9:18

John Wayne le décalé



Bonnal Nicolas - vendredi 04 mars 2011


cinema
Je me demande ce que peut signifier un personnage comme John Wayne pour la jeunesse d’aujourd’hui. Rien, sans doute, comme Montaigne ou Rabelais, Ravel ou Debussy ; il fait partie de ces classiques qu’il ne faut pas réveiller.
En outre, Wayne n’est pas dans l’air du temps : il est aussi marginal que, par exemple, le Kipling de « Tu seras un homme mon fils ». Il incarne cet homme viril, fuerte, formal y feo, comme il disait de lui-même en espagnol (langue maternelle de deux de ses femmes, et d’ailleurs langue maternelle, finalement, du western, comme de la guitare et de l’Amérique taurine), qui n’a plus grand-chose à nous dire. Enfin, croit-on.

Longtemps je n’ai pas été fan de Wayne : ce ne sont pas les soirées d’Eddy Mitchell qui m’y aidaient. Je le suis devenu à force de le fréquenter c’est-à-dire de le découvrir. Wayne, ce sont cinquante ans de carrière à l’âge d’or du cinéma, ce sont 200 rôles, c’est 200 fois un leading actor (Wayne c’est le Chef, et c’est mal vu depuis longtemps : on aime les « rich and famous », mais on n’aime pas les chefs ; on se contente des coachs), et c’est surtout un étonnant personnage, multiple ; complexe, plastique, mouvementé, un cowboy baroque en quelque sorte.

Il faut aimer le John Wayne jeune, celui des années 30, lorsqu’il tourne avec Walsh la Piste des géants ou Dark command, ou qu’il multiplie les apparitions surprises, digne de Tintin ou d’un héros de bande dessinée héroïque, dans les films de Bradbury par exemple. On découvre alors un athlète olympique qui saute à pieds joints sur son cheval, tombe en pleine course d’un chariot lancé à toute allure, plonge trois fois à cheval dans le même lac, nage et se repêche, soulève sa femme d’une seule main et assomme de quelques justes coups de poing une armée d’opposants. C’est un Wayne de l’enfance de l’art, étonnant, amusé, incroyable sportif. Il n’est pas feo, laid, il est beau gosse, encore mince, il supplante tout le monde d’une tête.

Il y a aussi le Wayne des 40 ans, qui peu à peu devient senior au sens romain. Là, notre grand personnage se fait discret, élégant, racé, dans ce beau film fordien sur la navigation ou dans l’inoubliable Fort Apache où il laisse le pas à Henry Fonda. Il a raison d’ailleurs, Fonda danse comme personne, et il joue le rôle inestimable et difficile de l’imbécile respectable. Dans sa grande carrière, Wayne a toujours la délicatesse, le talent, l’intelligence de laisser ses « supporting actors » s’exprimer le mieux qu’ils peuvent. Il les met en valeur, c’est un vrai patron de plateau, et c’et pourquoi il nous permet de découvrir et de redécouvrir de fabuleux seconds rôles comme Ward Bond ou Andrew McLaglen, eux-mêmes enfants chéris de l’initié John Ford.

Un des tournants de sa carrière est Red river, la rivière rouge, mon western préféré, sinon le plus redouté, œuvre du troisième grand de la trinité hollywoodienne, Howard Hawks. Ici Wayne devient fou et vieux ; il veut tuer tous ses hommes mutinés, se trompe d’itinéraire, refuse d’écouter qui que ce soit, et veut même tuer son fils adoptif (exceptionnel et silencieux Monty Clift) ; bref il crée l’antihéros en 1952 et il assume tous les risques. Il est sauvé par une discussion avec une femme amoureuse de Clift et qui lui rappelle son amour de jeunesse.

Il est sauvé par une femme : ce n’est pas la première fois. Wayne n’est pas le grand amoureux lyrique et romantique ; il est plus que cela, il est transi et transitif, un ami et un confident des femmes, un spécialiste des amours ratées (le secret de la Prisonnière du désert), et c’est le contact amical plus qu’amoureux avec la femme (voir Fort Apache ou bien sûr Dark command, où il devient l’ami de son ex-fiancée mariée à un truand) qui le civilise, le canalise, le « formalise ». Il est sauvé de son fanatisme raciste dans la Prisonnière du désert par la petite Nathalie Wood qui sauve son âme en même temps qu’il la saisit dans ses bras comme une fleur. De ce point de vue Wayne vaut plus bien que tous les American lovers réunis ; et je le vois plus moderne que bien de nos contemporains fatigués de le poursuivre dans leurs bottes de Tom Pouce.

Une des clés pour comprendre ce paradoxal humilié est bien sûr L’homme qui tua Liberty Valance. C’est lui qui tue le monstre, la bête immonde du western, mais c’est l’avocat qui recueille les fruits de son acte et la belle fiancée. Et il est l’homme qui va devenir personne, alors qu’il était l’ouest à lui seul. Un demi-dieu devenant un absent, étrange destinée. Vous avez dit décalé ?



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MessageSujet: Re: Biographie.   Biographie. Icon_minitimeMar 1 Mai - 11:12

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MessageSujet: Re: Biographie.   Biographie. Icon_minitimeLun 26 Nov - 6:46

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MessageSujet: Re: Biographie.   Biographie. Icon_minitimeVen 1 Mar - 5:00

La mort de John Wayne



Reportage INA, en Français ! Une pépite !


http://www.ina.fr/video/CAB7900771401
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MessageSujet: Re: Biographie.   Biographie. Icon_minitimeDim 10 Mar - 12:42

En ce qui concerne John Wayne



PAR CHARITÉ TOM

John Wayne tourna cent ans en mai, un événement marqué de Hollywood sorties DVD plusieurs. Le Festival de Cannes a présenté une version restaurée de Hondo (1953) en 3-D. Les journaux et les blogueurs de nombreux consciencieusement ôta son chapeau. Et Patrick Wayne bulldozer une station d'essence à Winterset, Iowa, pour faire place à la première dédiée John Wayne musée. Selon un récent sondage Harris, le duc reste de l'Amérique troisième étoile film le plus populaire, peu importe qui il est décédé en 1979. Cela fait trois décennies que son dernier film, Le Dernier des géants (1976) mais il est toujours classé dans le top dix depuis Harris a commencé il ya 13 ans interrogation.

Cette histoire d'amour remonte un long chemin. Depuis 20 ans, entre 1945-1975, il a seulement abandonné annuelle supérieure de la Motion Picture Almanac les dix box-office la liste étoiles à deux reprises, entre 1950 et 1970, il était généralement dans les trois premiers. Pour beaucoup d'Américains, nous pouvons supposer, John Wayne est la star de cinéma consommé, l'image qu'ils choisiraient de projeter d'eux-mêmes: l'idéal américain. Et c'est ainsi qu'il a été vu partout. Selon Garry Wills, lorsque le Premier ministre soviétique Nikita Khrouchtchev s'est rendu aux États-Unis en 1959 à l'apogée de la guerre froide, il a fait deux demandes spéciales. Il voulait visiter Disneyland, et qu'il voulait rencontrer John Wayne.

Il était grand (6'4 ") et grande (225 lbs), et il était évident dès le début qu'il menait matériel de l'homme. Encore et encore, vous vous trouvez regardant Wayne, que ce soit dans cette célèbre photo Dean Martin POV au début du Rio Bravo (1959), ou n'importe quel nombre de Monument Valley paysages où le duc semble imposante permanente le paysage. Dimitri Tiomkin a dit qu'il aimait les scores d'écriture pour Wayne images »Ses épaules sont si vastes qu'il peut transporter un score massif.« Son crédit et la première du film qui a littéralement fait un nom-était le rôle principal dans Raoul Walsh est La piste des géants, tourné en 70mm "Grandeur", en 1930. Il a continué pour faire plus de 170 films en tant qu'acteur, pas même la succession Wayne sait exactement combien et il a joué le plomb dans plus de 140 d'entre eux. Il semble peu probable que le dossier ne sera jamais vaincu.

La stature est venu naturellement, mais Wayne a dû apprendre à porter son poids. Gauche et timide dans ses premiers films (le vérifier comme commis de bureau, l'une des pierres de gué Barbara Stanwyck, en 1933 Baby Face Alfred Green a), le jeune homme était le premier à admettre ses limites. Au service d'un apprentissage de 60 films dans le couloir de la pauvreté, l'homme né Marion Morrison a pris un long regard dur à lui-même: «Quand j'ai commencé, je savais que je n'étais pas acteur et je suis allé travailler sur cette chose Wayne», at-il dit plus tard. «Je pensais que j'avais besoin d'un truc, donc je imaginé cette voix traînante, le strabisme et un moyen de déplacement pour but de suggérer que je ne cherchais pas mal mais aurait tout aussi rapidement lancer une bouteille à la tête que non. J'ai pratiqué en face d'un miroir. "

Les pièces étaient interchangeables. Dans une période de quatre ans entre 1932 et 1936, il a joué des personnages nommés «John» 24 fois (en 1932 et a Two-Fisted Law, il était «Duke»). La répétition construit son personnage, qui a rapidement fusionnés en un stoïque, un peu solitaire puritaine avec un sourire prêt, mais un tempérament hair-trigger. Dans l'imagination du public et, finalement, dans son esprit, il jouait toujours John Wayne.

De John Ford vieux mentor Harry Carey et le vétéran acteur Paul Fix, il a appris à surmonter sa conscience de soi à l'écran: comment retenir l'attention de la caméra en ralentissant son discours, s'arrêtant à mi-peine, ou portant l'accent sur une syllabe inattendu . Il a compris que moins de lignes pourrait emballer plus de punch, mais même à son plus laconique, sa cadence tangue haut et en bas comme un navire sur houle ("Ce sera le jour"). Avec l'âge et plus-répétition, Wayne vallonné diction-comme marque déposée Jimmy Stewart balbutie-venu à paraître maniérée et mûrs pour la parodie, mais ce fut aussi une répercussion fâcheuse sur le petit écran, de la télévision, ce qui inverse la sagesse Hollywood à son privilège au détriment de vue. "Pourquoi êtes-vous déplacer votre bouche tellement?" John Ford est censé avoir réprimandé Wayne cours de Stagecoach (1939). "Ne savez-vous pas que vous agissez avec vos yeux en images?"

Souvent, au moment où il a été établi une présence, nous sentons combien Wayne flotte au-dessus de ce dialogue. Ce n'est pas qu'il ne l'écoute pas, mais il absorbe voix-avec d'autres yeux, bien sûr, et puis il écoute lui-même. Écrit à propos de Rio Bravo, peut-être la performance consommé Wayne, Greil Marcus a observé que «Sous l'assurance et de l'expérience, il faut communiquer, il se sent à l'instant en instant rôle-constamment juger lui-même et les autres, pesant choix, ce qui pose des alternatives morales et, une fois qu'il a agi, de sanctifier ses actions en accord avec eux. "

On dit qu'il a changé la façon dont il marchait, parce qu'il détestait la façon dont il avait l'air raide dans ses premiers films. Selon Harry Carey Jr., Paul Fix lui a conseillé de pointer ses orteils dans le sol pendant qu'il se déplaçait. Avec ses jambes maigres et de circonférence large, il lui a donné une allure presque délicat, mais son roulement glissement était gracieuse et fluide. "Il ne peut pas être Shakespeare, mais qui d'autre peut tourner comme ça? John Carpenter, s'enthousiasme sur la piste de commentaires pour Rio Bravo après tourbillons John T. Chance shérif autour sur ses talons pour assommer l'assassin, Joe Burdette.

De cascadeur et ancien champion de rodéo Yakima Canutt il a appris à être un cow-boy: comment monter, comment lutter, comment tenir une arme à feu. Canutt était un acteur terrible, mais Wayne le regardait champ et hors champ, et remarqué à quel point quand il a été confronté à un danger réel, Canutt n'a pas agi peur, à un certain niveau, il semblait amusé. Cette lueur demi-humoristique au premier signe de difficulté trouvé sa place dans l'arsenal de Wayne. Trente ans plus tard, quand Patrick Wayne commençait sur sa carrière d'acteur propre, le seul noter son père lui était d'apprendre à maîtriser un cheval. James Caan et Chris Mitchum fois rappelé que Wayne a fait un point de démontrer la bonne façon de porter les armes.

Une telle orientation ne visait pas à la légère. Vous pouvez déterminer le moment précis John Wayne est devenu une star de cinéma osseuse foi. Il se produit 15 minutes après Stagecoach (1939), où nous voyons d'abord le Kid Ringo dans le désert, une selle sur son épaule, faisant tournoyer son fusil Winchester dans une main comme s'il s'agissait d'un cure-dent. Personnellement et professionnellement investi dans Wayne, il avait laissé passer Gary Cooper pour les joints de rôle Ford l'offre en travelling dans une de près.

Pour citer Robert Mitchum: «La plupart des acteurs manipulent des armes à l'écran comme ils sont pistolets à amorces ... Une vraie arme à feu est un instrument très grave. Il a de sérieuses implications et les conséquences terribles, si vous voulez manier un fusil comme ça ... Si vous faites cela, votre personnage devient réel dans une hâte-il vole la réalité de l'arme. C'est agissant film: vous volez la réalité des accessoires et contrôler le rythme des images ".

Contrairement à l'exhibitionnisme tir de précision qui excite Matt Garth et Cherry Valance (Montgomery Clift et John Ireland) dans la rivière Rouge (1948), Wayne n'a pas besoin d'appuyer sur la gâchette pour asseoir son autorité, la façon dont il porte un fusil est une marque de prouesses pour quiconque se soucie de préavis. Et ce fusil est insoluble, comme partie intégrante de Wayne comme un chapeau haut de Fred Astaire et des queues ou des cigarettes Bette Davis, The Mitchum implication sérieuse parle, Wayne porte aussi naturellement que d'un droit d'aînesse. Connu, dans tous les films qu'il a faits, il est mort que huit fois.

"The Westerner ... ne se bat pas pour obtenir un avantage, et non le droit, mais de dire ce qu'il est», écrit Robert Warshow. "Qu'est-ce qu'il défend, au fond, c'est la pureté de sa propre image ... C'est ce qui le rend invulnérable." Succès Wayne à effacer toutes les traces de Marion Morrison ou, si vous préférez, gommant toute distinction entre lui-même et tout ce personnage qu'il s'est passé d'être dirigé par le jeu tout le monde d'oublier la facilité de la performance.

Même si désireux d'observateur comme Richard Dyer admet dans Etoiles qu'il était tombé dans l'erreur commune que Wayne était pas un acteur: «L'hypothèse selon laquelle il est juste là, et juste en étant là une déclaration est faite." Dyer procède à l'analyse une scène de massacre de Fort Apache (1948) qui dément cette erreur, soulignant à quel point Wayne langage du corps détendu, sa flexibilité et sa facilité de mouvement et le subtil, de manière originale dans laquelle il s'inscrit ironique amusement-shading dans le mépris, d'un autre caractère (le trafiquant d'armes , Meecham) tout approfondir et développer nos impressions du capitaine Kirby York, en particulier en contraste avec le colonel jeudi, le martinet rigide joué par Henry Fonda.

Cette grâce caractéristique en mouvement est systématiquement occulté par l'intransigeance du républicanisme Wayne, en particulier sa rage anti-communisme. "Comment puis-je haïr John Wayne maintien Goldwater et pourtant l'aimer tendrement quand il balaye Natalie Wood dans ses bras dans la dernière bobine de The Searchers (1956)?" Godard me demandais, et 40 ans après le Vietnam, avec Barry Goldwater se glisser dans l'obscurité -la question plane toujours sur l'étoile, d'autant plus que son personnage était sa politique.

Interrogé sur son approche de l'action, Wayne n'a pas parlé de technique, il a parlé d'un credo: «Le simple fait d'agir par un code ... Dans n'importe quel rôle, j'essaie d'agir comme un homme ou une femme pourrait penser un vrai homme doit agir en cette situation. . C'est tout "Quand il se trouva en mesure de contrôler sa propre carrière, il a mis l'écrivain James Edward Grant sur la liste de paie d'adapter ses scripts, Grant a eu une oreille pour le style chantant courant qui ne s'est pas contenté de définir Wayne mais un ensemble race de conservatisme évangélique maison vers le bas: «Un homme devrais faire ce qu'il croit être juste» (Hondo). "République-J'aime le son du mot ... Un de ces mots qui me font serré dans la gorge» (The Alamo). "Verrouiller et charger!" (Sands of Iwo Jima, 1949).

La rhétorique résonne encore fort pour beaucoup d'Américains, et Wayne a certainement influencé la façon dont les présidents Reagan et Bush II a adressé leur circonscription. C'était Jimmy Carter qui lui décernée à titre posthume la Médaille d'or du Congrès: «Dans une ère de quelques héros, il était le véritable article," il a affirmé (sans doute en référence à sa longue bataille contre le cancer, puisque Wayne notoirement défaite de l'Axe dans le confort du Hollywood Canteen). «Il était plus qu'un héros. Il était un symbole de bon nombre des qualités qui ont fait l'Amérique grande. "

À ce jour, le problème pour les libéraux et les progressistes n'est pas que Wayne incarnait les qualités de résistance, l'autorité morale, l'indépendance, la liberté, l'intégrité et le courage de la conviction, mais que, dans la vie plus tard, il les enveloppa dans une idéologie de droite réactionnaire . «Ici, la procédure est une balle", il annonce dans son tableau Vietnam, Les bérets verts (1968), sans doute le film le plus risible dans sa carrière, et comme son seul crédit réalisateur d'autre part, The Alamo (1960), un travail de l'amour. C'est un sentiment que nous entendons aujourd'hui écho dans les justifications de la guerre contre le terrorisme, Guantanamo et Abou Ghraib. L'ironie est que cela pourrait être jeudi Owen parler, la nuance et l'ambiguïté que Wayne lui-même investi dans Fort Apache a été perdu en cours de route.

Il faut se rappeler combien de fois dans sa carrière, surtout dans les années '40 et '50-il pas été identifié avec les courtiers en énergie, généraux, et certainement pas avec des politiciens, mais avec les Amérindiens. En Hondo, il est à moitié indien. À Fort Apache et beaucoup d'autres occidental de cette période, il est personnellement en bons termes avec eux, et un critique volubile de leur traitement malhonnête. Pas plus tard que Chisum (1970) sa éleveurs de bétail parenté demandes avec un ancien ennemi Comanche: "Je le respecte. Nous sommes des frères. "

Cette sympathie peut sembler étrange, si ce n'est qu'il fait allusion à un sous affinité plus, la reconnaissance du fait que l'individualisme Wayne frontière robuste est aussi archaïque et inacceptable que la manière amérindienne de vie, il se trouva souvent éloge. En effet, en ouvrant la voie à la civilisation, le pionnier accélère la disparition de la nature sauvage qui est son élément très. Ce fut l'un des thèmes préférés de John Ford, et Wayne était son collaborateur le plus important dans 14 films, dont The Searchers et The Man Who Shot Liberty Valance (1962), deux lamentations tragiques qui pèsent sur Wayne renoncer à sa créance sur tout avenir.

Selon Anthony Quinn, sa co-star dans Tycoon, Wayne inquiet de sa carrière était connu des jours meilleurs en 1947. Il avait 40 ans, ses cheveux éclaircie, et il sentait qu'il ne serait pas en mesure de jouer rôles romantiques plus. Il a été envisagé un déménagement derrière la caméra. Ironiquement, il venait d'entrer dans ce qui est certainement sa plus grande période. Jouer significativement plus âgés que ses années comme Tom Dunson en Hawks de la rivière Rouge et dans Brittles Nathan Ford, elle portait un ruban jaune (1949), Wayne a pris de la gravité et de la maturité, un poids qui correspondait à sa construction. S'il était trop vieux pour les filles romantiques, alors que l'amélioration de son image d'homme d'un homme, un stoïcien qui avaient été soit blessé par une femme dans le passé, ou avait sacrifié pièces jointes romantiques pour une cause supérieure.

Dans le même temps, il a découvert plus de profondeur, plus d'angoisse et de colère à l'intérieur de lui-même. C'était Hawks, qui a repéré que Wayne puritains de zèle portait examen; que cette apparente autonomie nécessaire pour être testés. Dans leurs derniers films ensemble (Rio Bravo, Hatari, 1962; El Dorado, 1966, et Rio Lobo, 1970) Cette enquête a seriocomic et indulgent dans le meilleur sens du mot (pour ce que ça vaut, ces films me semblent parmi les plus sociable dans le monde). Mais dans la rivière Rouge, c'est tragique. Dunson est une figure Achab, le patriarche obsessionnelle dont aveuglante sens du but qui l'amène au bord du meurtre de sa propre (substitut) son fils, tout comme dans The Searchers, Ethan Edwards moyens d'anéantir son propre lignée.

Wayne est à son plus turbulente de ces rôles, où sa force est aussi sa faiblesse. Il montre des éclairs de cette pathologie dans Tycoon (1947), une sorte de répétition générale pour Dunson également écrit par Borden Chase, comme Ralls capitaine à la suite de la sorcière rouge (1948); comme Sgt. Stryker dans les sables d'Iwo Jima. C'était comme si le plus âgé, il a obtenu les plus à double tranchant ses héros sont devenus. Leurs valeurs étaient trop rigides pour vivre, trop rigide à vivre avec.

Invités à désigner sa propre épitaphe, Wayne utilisée pour citer un slogan espagnol: "Feo, fuerte y formelle." Dont il traduit la force était une donnée, mais il est ce mélange de laideur et "Ugly, Strong, et dans la dignité." dignité qui fait de lui une icône fascinante et problématique. Son regard était sans ciller, mais plus souvent qu'autrement, ses yeux étaient gentiment. Et il portait un score massif.
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18 mars 2013: Le Supermen oublié - Patrick Wayne

par Neil A. Cole

Le site Superman Super est fier de présenter une nouvelle série hebdomadaire intitulée "Les Supermen oubliés» où, chaque lundi, nous vous présenterons un acteur qui a dépeint l'homme d'acier sous une forme particulière de médias comme la télévision, du cinéma ou de la radio.

Oublié cette semaine Superman est l'acteur Patrick Wayne, qui a été testé et écran dans le rôle de Superman / Clark Kent dans "Superman - Le film" avant de devoir abandonner quand son père, John Wayne, a été diagnostiqué avec cancer de l'estomac.

Wayne est né "Patrick John Morrison" le 15 Juillet 1939 à Los Angeles, en Californie. Il est l'un des John Wayne quatre enfants de sa première femme, Patrick a pris le nom de son père stade de Wayne. Il a fait un total de neuf films avec son père John Wayne: Rio Grande (1950); The Quiet Man (1952); The Searchers (1956); The Alamo (1960); Les Comancheros (1961); Reef Donovan (1963); McLintock! (1963), Les bérets verts (1968); Big Jake (1971).

Patrick a fait ses débuts au cinéma à l'âge de 11 ans à Rio Grande de son père (1950). Il enchaîne avec des films réalisés par ami de la famille et emblématique réalisateur John Ford: The Quiet Man (1952), Le soleil brille (1953), n'est qu'un au revoir (1955), Mister Roberts (1955) et The Searchers (1956) .

De 1957-1958, Wayne, à l'âge de dix-huit, est apparu comme Walter sur la sitcom de CBS, M. Adams et Eve, mettant en vedette Howard Duff et Ida Lupino comme un couple vivant action fictive à Beverly Hills. Autre travail à la télévision inclut Rookie Scénariste baseball de l'année (1955), réalisé par John Ford et mettant en vedette John Wayne, et les pointes de clignotants (1962), une anthologie de baseball versement de télévision réalisé par John Ford et mettant en vedette James Stewart, avec John Wayne dans une longue rôle de camée. Patrick Wayne joue des rôles similaires dans les deux spectacles que les joueurs de baseball.

Après le lycée, Patrick assisté à Loyola Marymount University, où il a été membre de la Fraternité Alpha Gamma Delta, et obtient son diplôme en 1961. Pendant ce temps, il sortit de son propre chef à la vedette de son propre film La Terre jeunes (1959). Il a soutenu son père dans The Alamo (1960), le récif de Donovan (1963), McLintock! (Également 1963), et The Green Berets (1968). D'autres ont inclus un rôle dans la Ford tentaculaire automne épique Cheyenne (1964), un rôle en tant que fils de James Stewart à Shenandoah (1965), An Eye for an Eye (1966), Le Déserteur (1971) et un rôle principal dans "L'ours Et je "pour Walt Disney (1974).

En 1966, à l'âge de vingt-sept ans, Wayne co-vedette avec Ron Hayes et Chill Wills dans l'épisode 17-comédie ABC série western The Rounders, basé sur le Ford 1965 Glenn et Henry Fonda film du même nom The Rounders.

Suite aux travaux sur Big son père Jake, Patrick valu une reconnaissance dans le genre science-fiction. Sa carrière a culminé dans les années 1970 dans la matinée populaire Sinbad fantaisie et l'Eye of the Tiger (1977), puis The People That Time Forgot (1977). Wayne a également testé l'écran pour le rôle-titre de Superman. Il a co-vedette comme une histoire d'amour romantique à Shirley Jones dans une autre série TV bref, Shirley (1979). Il était l'hôte du Salon de Monte-Carlo en 1980, et travaille occasionnellement sur des jeux et des séries diverses syndiqué.

Il avait de nombreuses apparitions dans des séries télévisées populaires des années 1970 et 80, y compris Fantasy Island (1978), Assassiner, She Wrote (1984), Les anges de Charlie (1976), Sledge Hammer! (1986) et The Love Boat. Wayne est apparu dans les films Guns jeunes comme Pat Garrett. Il a également fait un tour comique dans le Rustler Rhapsody parodie de l'Ouest (1985), avec Tom Berenger.

Wayne a été l'hôte de la reprise de 1990 de l'émission de jeu de Tic-Tac-Dough.

En 2003, Patrick est devenu président de l'Institut John Wayne Cancer.
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